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 du fyrn skulblakas

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artragis
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MessageSujet: du fyrn skulblakas   du fyrn skulblakas Icon_minitimeMar 29 Mai - 17:43

Bonjour, j'ai fait une fic nommée du fyrn skulblakas comme promis.
Comme pour tout premier chapitre il est relativement court. mais bonne lecture quand m^me



Du Fyrn Skulblakas

Le pouvoir... Il le sentait en lui. Cette magie offerte par le Peuple Gris. Disparu depuis un siècle déjà. Il se souvint de l'ancien parchemin. “Unique et multiple, l'endroit où se joignent présent et passé est la parte du futur.”
Combien de fois avait-il lu cette énigme avant de la comprendre? Des centaines de fois. Aujourd'hui la mort allait le rattraper mais peut importe, il laissait couller le pouvoir en lui. Puis il plongea dans l'endroit mistérieux. L'esprit. Il communiait avec lui même. Il voulait que son dernier voeux lui soit accordé. Voir ses descendants et leur possible avenir. Il ferma les yeux. Le pouvoir coula dans l'esprit. Un portail caché au plus profond de son être s'ouvrit.
Il ne vit qu'un continent désolé. Puis en s'approchant des côtes des magnifiques bâteaux prêts à embarquer... Que se passait-il? Tout était désormais flou. Il sentit son estomac aller dans ses talons, puis la clareté revenir. Il voyait deux jeunes elfes. L'un d'eux avait ses yeux. Il guêtait une proie. Une ombre les survollait. Deux gigantesques ailes se dessinaient sur le sol. Les jeunes gens levaient la tête et se terraient. L'ombre passa et repassa. Un trait de flamme fit sursauter le prescient en lui passant à travers et en réduisant à l'état de braises le peuplier centenaire sur lequel il s'appuyait. L'ombre disparut. Les deux elfes soufflèrent, utilisèrent la magie pour attaquer la créature, mais ils écartèrent volontairement leurs arcs de la cible. Pourquoi? Ils hochaient la tête et repartaient en courrant.


“Pourquoi dans cette forêt? Le nouveau continent est grand et riche, la forêt nous cachera le soleil. Pourquoi? Nous pouvons être la race propère de ce continent grâce à notre puissance et à notre art du tir à l'arc. Nos poésies nous assurrons la renommée. Pourquoi nous enfermer?
-Beaucoup de questions pour un même problème jeune elfe. La forêt nous apportera une protection qui se rapproche des cadeaux de la mer, elle nous offrira aussi un terrain de chasse et nous permettra d'évoluer à notre rythme. Cependant des villes vont être cotruites dans les environs de la forêt. Le nom de l'une d'entre elles est déjà fixé. Ceunon si mes souvenirs sont bons. Ce sera d'abbord un village de pioniers et après nous verrons. Mais pour l'instant va rejoindre tes parents jeune Bransur. Et passe le bonjour à ton ami Eragon.
-Bien sage Ancien.
Il s'en fut en courrant. Il n'aimait pas la perspective d'habiter dans cette forêt. Il avait grandi sur l'ancien continent, puis la famine avait frappé. Enfin, après le rapports optimistes des explorateurs, le peuple elfique était parti tout entier vers cette nouvelle vie qui les attendait en Alagaësia. Car d'après les explorateurs, qui avaient rencontré les autochtones - les nains – avaient nommé ainsi cette nouvelle terre d'accueil. La forêt était grande, et loin de la mer. Bansur, adorait la mer. Il ne voulait en aucun cas la quitter. Mais son amour pour ses parents était trop fort. Si sa famille s'engouffrait dans cette immense étendue de frondaisons variées, il la suivrait. En plus de la peur du mystère qu'offrait la forêt, il pensait qu'il ne pourrait pas voir les magnifiques créatures qu'avaient décrites les explorateurs et qui dans leur toute puissance volaient et maîtrisait l'Alagaësia. Ce n'était que des légendes pour certains, mais pour lui, c'était la vérité. Une vérité effrayante mais tellement merveilleuse. Il rêvait de rencontrer ces créatures, les dragons. Peut importe la caravane se dirigeai vers le centre de la forêt, et déjà les chants magiques donnaient aux arbres des formes de maisons. En effet, les elfes pourraient prospérer ici. Mais il avait un mauvais présentiment. Ce genre de présentiment qui s'approche de la préscience qu'il a hérité de son gran père.
Il repensa avec nostalgie à l'ancien continent. Les elfes vivaient bien là bas, l'espérance de vie augmentait, il y avait mer, forêt, ciel bleu, campagne et montagnes. Toutes ces terres était bénies par les étoiles. Mais un jour il n'y eut plus assez de rien pour nourrir la prospérité du beau peuple. Le climat s'était dégradé et ne laissait plus assez de soleil pour permettre aux animaux sauvages de partir de leur terrier et donc pour permettre la chasse. Des bateaux avaient été affrêtés et l'exode avait commencé. Le premier gropupe était arrivé avec le couple royal et les villes allaient être fondées un peu partout pour accueillir les prochains groupes.
Bransur rêvait aux dragons. Puis le rire de son ami le fit revenir à la réalité. Leurs parent s'étaient mis d'accord. Les deux familles logeraient dans la première ville fondée dans la forêt.
Chacun pris un arc et on commença une petite chasse. L'agilité des elfes était assez grande pour leur offrir la furtivité face aux proies. Eragon était doué, très doué. D'un naturel rieur, ses yeux métallique était plus expressif que tous les mots. Ses mains, fines et aussi aptes à porter un arc qu'à lancer un sort ou à mimer chacune de ses blagues. Le nez aquilin lui permettait de sentir aussi bien que le faucon pélerin voyait. Quant aux oreilles, pointues comme pour tout elfe, elle s'incrustait parfaitement à son corps et donnaient l'impression de le finir. Bien qu'une fois qu'on le connût, on savait que l'ouïe était le sens le moins développé du jeune elfe. Très légèrement moins développé que l'odorat. Le visage était une oeuvre d'art dont le reste du corps était le solide et parfait chevallet.
L'arc à la main les deux compagnons étaient confiants. Ils se savaient exellent à l'exercice de tir, a fortiori sur cible mouvante. Cela faisait longtemps qu'ils ne manquaient plus leur cibles. Malgré cela, ils avaient pour hantise de rater le moindre tire, la moindre cible, même la plus impossible à atteindre. Les moqueries étaient trop cruelles pour qu'ils se permissent.
Un ombre se descina sur le sol. Ou plutôt des ombres. Quelqu'un venait de faire envoler une colonie entière et devait déjà s'empresser de tirer. Chacun des deux amis arma son arc avec une dextérité égalée par leur seule rapidité. Ils tirèrent quatre flêches.
Ils n'en ratèrent pas une et le soir le dîner fut exellent. Les caravanes reprirent, tout le monde allait entrer dans l'immense étendue verdoyante qui, plus tard serait le dernier recours des elfes.
Et ça allait l'être dans bien moins de temps que tout le monde ne le pensait...
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artragis
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MessageSujet: Re: du fyrn skulblakas   du fyrn skulblakas Icon_minitimeDim 3 Juin - 18:21

Du Fyrn Skulblakas

Chapitre 2

« Ce sont de grande créature, aux écailles plus brillantes les unes que les autres! Nos joyaux parraissent ternes à côté de cet éclat. Ils crachent du feu jusqu'à trentes pieds d'eux même dans les airs! Notre peuple et le leur sommes en guerre depuis la nuit des temps car les dragons naissens carnivores et que notre chaire est bien fournie. Prenez gardes nouveaux arrivants! Si un dragon vous voit deux sollutions sont possibles! Soit il vous laisse à vos occupation car il est déjà rassasié et préfère montrer son omnipotence, soit il vous croque et prend plaisir à vous malaxer le plus longtemps possible. Les dragons ont à notre grand damn le sens du goût. Si vous voulez un conseil, avant de chercher les dragons; prospérez. Il y a tout ce qu'il faut pour tout le monde ici! Une troisième race pourrait arriver, cela ne dérangerai personne tant qu'elle ne serait pas belliqueuse. Oei c'est moi qui vous le dis! Juste une question, vous ne parlez pas notre langue, comment désirez vous faire commerce avec nous? Vous m'avez vous même avoué que peu d'elfe avait appris notre dialecte! Et venez visiter nos mines, elles sont superbes! Notre art de la pioche est inimitable! Et... »
Il n'en finnissait plus. Les parents de Bransur et lui avaient été choisis comme emmissaire auprès du peuple nain. Bransur en était heureux car il pouvait ainsi s'éloigner de la forêt, mais malheureusement, il était seul avec sa famille et avec des nains à la tendance taciturne ou alors trop bavards pour être honnêtes. Cela l'énervait mais le peuple nain l'émerveillait par son sintillement exentrique fait de joyaux et d'or fin.. Ses parents faisaient mine d'être attentifs à la tirade du nain. D'ici quelques minutes, les négociations commenceraient. Les nains vendraient sûrement aciers et diamants aux elfes qui leur donnneraient bois, et autres marchandises que la petite taille des nains les empêchait de produire. Les elfes vendraient aussi sûrement des armes qui par leur beauté vaudront les meilleurs diamants des nains.
Le nain reprenait son souffle. Bransur en profita pour placer quelques mots afin de pouvoir permettre à ses prents de parler :
« En plus d'être d'exellents mineurs vous avez l'air fins tailleurs de pierre. On pourrait croire que vos joyaux accueillent la vie en eux. »
Le nain avait pris le compliment à la lettre et ne cachait plus désormais sa fierté pour son peuple. Enfin il prononçait le mot vente! Les parents de Bransur entraient en action. C'est ici que les elfes virent qu'ils pouvaient être égalés dans certains domaines et que rien n'était gagné d'avance. En effet, le nain avait plus d'un tour dans son sac, donc dès qu'il montrait signe d'accepter un compromis, une phrase ou un compliment suffisait à fausser le rythme de la négociation et seuls deux accords furent arrêtés au bout d'une heure de disputes. Puis, heureux d'avoir enfin trouvé des adversaires à sa taille, le nain les invita à visiter le temple du Dieu créateur. Les elfes s'y interessèrent réellement malgré leur athéisme. La où le nain voyait des personnes qui, un jour pourraient croire en la même religion que lui, les elfes étaient simplement émerveillés par les fresques faites en mosaïques et on peinture à l'huile. Les elfes adoraient l'art et, étaient sérieusement étonnés qu'un peuple aussi rustre d'aparence que celui des nains puisse être aussi doué pour la peinture murale. Même si c'était pour la religion... Les constellations se mêlangeait à l'immensité de la mer. La vue de la mer arracha un sourire nostalgique à Bransur. Des colosses modelaient des créatures dans la pierre, sûrement des nains. Enfin, la partie de la fresque qui interessa le plus Bransur! Un nain perché sur un feldûnost tendait bravement une hache dont la lame parassait la plus tranchante possible vers une masse écailleuse auréolée par la lumière d'une flamêche. Un dragon... La fresque décrivait l'histoire d'un héro nain qui s'était courageusement sacrifié pour sauver son clan, l'Ingénium, du dragon qui se nourrissait de la chaire de ses paires. Bransur approcha un doigt du mur. Il eut l'impression de toucher le dragons vivant tellement le réalisme était parfait. Son seul rêve était désormais de rencontrer un des magnifiques dragons. Peut-être que l'amitié peut être possible entre un elfe et une créature à l'allure aussi majestueuse et sage et puissante. Il était persuadé que ce n'était pas en restant neutre que le peuple elfe allait se sortir totalement indemne d'une cohabitation avec les dragons. Les elfes avaient leur magie de plus en plus puissante. Un savoir déductif de plus en plus évolué. Des forces qui se décuplaient au fur et à mesure des génération. Si les dragons ou les elfes se sentaient menacés par l'autre on ne passerai pas par le stade escarmouche. Il le prescentait. Il en était même sûr. Mais comment approcher un dragon et négociera vec lui. Ils n'ont apparament pas de langage propre, et se situent au dessus de l'héritage du Peuple Gris. Brandur demanda au nain :
-Maître Nain. Me serait-il possible d'apprendre vos runes et de lire quelques uns de vos parchemins? J'aimerai connaître vos légendes sur les dragons. J'avous qu'ils m'émerveillent.
-Ne soit pas abruti par leur magnificence jeune elfe! Ha ha! Il est beau de voir un dragon, mais aussi malheureux. Tous ceux qui en rêve finissent par voir se réaliser ce fantasme mais ne voient rien de plus par la suite. La vue d'un dragon est une chose qui donne pleinitude, sentiment de gloire et enfin la mort. Reste ce que tu es! Ta maudite magie te permettra de faire de grande choses, je sens en moi que tu es puissant. Mais fais attention à toi, un traque qui commence n'a que deux issues possibles. La mort du chasseur ou celle du chassé. Traquer un rêve ne te mênera donc qu'à la mort car le rêve n'est pas vivant et ne peut donc mourir. Si un jour tu vois un dragon, tue-le ou il te tuera.
-La fierté d'une vie peut-être de trouver une troisième sollution Maître Nain. Cependant ne vous tracassez pas, je ne suis ni un fou, ni un impudent. Je ne chercherez pas le danger que ce soit pour le braver ou pour y goûter.
Traquer un rêve est dangereux, mais en avoir vous permet de vivre. Un rêve, un symbole. Certain prennent l'aigle ou le loup. D'autre le renard ou l'ours. Moi je prends le dragon. Peut-être est-ce mon idéal? Un dragon est la fusion entre la magnificence, la sagesse, le mystère, le pouvoir, la finesse, la force et le rêve. Comment une créature peut-elle vivre si longtemps sinon?
-Un rêve non réalisé nous laisse toujours le goût amer de la défaite, il ne nous tue pas mais nous garde dans une semi-vie qui attend que l'âge nous détruise. Prends garde aux rêves et symbole.
-La vie est une succession de choix maître nain. Vous m'exposez ceux qui se présente à moi. Cependant j'affirme qu'il y a une troisième issue! J'ai ma vie pour la connaître. Là est mon rêve, là est mon but, j'y arriverai. La mort m'emportera peut-être après. Mais que cela n'importe! Elle me prendra un jour!
-Tu as déjà un bon raisonnement jeune elfe. Vois-tu, tu te renies cependant toi même. Tu penses, comme tes parents qu'il est inutil de croire en tel ou tel dieu. Mais tes principes. Tu y crois! C'est ta religion! Sauf que tes symboles ne sont pas des dieux peints sur des fresques mais des idéaux peints dan ton coeur. J'espère que tu évoluera aussi bie nque tu n'es parti. Pour l'instant prends ce joyau. Pour nos runes, tu auras droit à tout ton temps mais ce joyau lui n'a que ta vie pour profiter des bienfaits que tu lui feras! Et une vie c'est court! Va, retourne à tes parents petit garçon, retourne parmi les tiens, et dis leur que nous n'échangerons que des marchandises de premières qualité. Dis leur aussi de ne pas s'avancer dans le désert, il y a des bruttes sanguinaires appelés Urgals. Retourne à ta forêt et protège-toi! Désormais nos peuples sont similaires en quelques sortes. Vous avez la protection d'une forêt bénie des dieux et, nous avons nos montagnes. Va et ne reviens plus! Reste avec amis et parents, laisse venir les marchands avides et bavards. Rêve mais ne crois pas en l'impossible. Que les dieux t'accompagnent.
-Que votre vie soit heureuse maître nain!
-Arrête ne m'appeler maître! Ca me fait paraître vieux!
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MessageSujet: Re: du fyrn skulblakas   du fyrn skulblakas Icon_minitimeVen 27 Juil - 17:12

Chapitre 2

« Ce sont de grande créature, aux écailles plus brillantes les unes que les autres! Nos joyaux parraissent ternes à côté de cet éclat. Ils crachent du feu jusqu'à trentes pieds d'eux même dans les airs! Notre peuple et le leur sommes en guerre depuis la nuit des temps car les dragons naissens carnivores et que notre chaire est bien fournie. Prenez gardes nouveaux arrivants! Si un dragon vous voit deux sollutions sont possibles! Soit il vous laisse à vos occupation car il est déjà rassasié et préfère montrer son omnipotence, soit il vous croque et prend plaisir à vous malaxer le plus longtemps possible. Les dragons ont à notre grand damn le sens du goût. Si vous voulez un conseil, avant de chercher les dragons; prospérez. Il y a tout ce qu'il faut pour tout le monde ici! Une troisième race pourrait arriver, cela ne dérangerai personne tant qu'elle ne serait pas belliqueuse. Oei c'est moi qui vous le dis! Juste une question, vous ne parlez pas notre langue, comment désirez vous faire commerce avec nous? Vous m'avez vous même avoué que peu d'elfe avait appris notre dialecte! Et venez visiter nos mines, elles sont superbes! Notre art de la pioche est inimitable! Et... »
Il n'en finnissait plus. Les parents de Bransur et lui avaient été choisis comme emmissaire auprès du peuple nain. Bransur en était heureux car il pouvait ainsi s'éloigner de la forêt, mais malheureusement, il était seul avec sa famille et avec des nains à la tendance taciturne ou alors trop bavards pour être honnêtes. Cela l'énervait mais le peuple nain l'émerveillait par son sintillement exentrique fait de joyaux et d'or fin.. Ses parents faisaient mine d'être attentifs à la tirade du nain. D'ici quelques minutes, les négociations commenceraient. Les nains vendraient sûrement aciers et diamants aux elfes qui leur donnneraient bois, et autres marchandises que la petite taille des nains les empêchait de produire. Les elfes vendraient aussi sûrement des armes qui par leur beauté vaudront les meilleurs diamants des nains.
Le nain reprenait son souffle. Bransur en profita pour placer quelques mots afin de pouvoir permettre à ses prents de parler :
« En plus d'être d'exellents mineurs vous avez l'air fins tailleurs de pierre. On pourrait croire que vos joyaux accueillent la vie en eux. »
Le nain avait pris le compliment à la lettre et ne cachait plus désormais sa fierté pour son peuple. Enfin il prononçait le mot vente! Les parents de Bransur entraient en action. C'est ici que les elfes virent qu'ils pouvaient être égalés dans certains domaines et que rien n'était gagné d'avance. En effet, le nain avait plus d'un tour dans son sac, donc dès qu'il montrait signe d'accepter un compromis, une phrase ou un compliment suffisait à fausser le rythme de la négociation et seuls deux accords furent arrêtés au bout d'une heure de disputes. Puis, heureux d'avoir enfin trouvé des adversaires à sa taille, le nain les invita à visiter le temple du Dieu créateur. Les elfes s'y interessèrent réellement malgré leur athéisme. La où le nain voyait des personnes qui, un jour pourraient croire en la même religion que lui, les elfes étaient simplement émerveillés par les fresques faites en mosaïques et on peinture à l'huile. Les elfes adoraient l'art et, étaient sérieusement étonnés qu'un peuple aussi rustre d'aparence que celui des nains puisse être aussi doué pour la peinture murale. Même si c'était pour la religion... Les constellations se mêlangeait à l'immensité de la mer. La vue de la mer arracha un sourire nostalgique à Bransur. Des colosses modelaient des créatures dans la pierre, sûrement des nains. Enfin, la partie de la fresque qui interessa le plus Bransur! Un nain perché sur un feldûnost tendait bravement une hache dont la lame parassait la plus tranchante possible vers une masse écailleuse auréolée par la lumière d'une flamêche. Un dragon... La fresque décrivait l'histoire d'un héro nain qui s'était courageusement sacrifié pour sauver son clan, l'Ingénium, du dragon qui se nourrissait de la chaire de ses paires. Bransur approcha un doigt du mur. Il eut l'impression de toucher le dragons vivant tellement le réalisme était parfait. Son seul rêve était désormais de rencontrer un des magnifiques dragons. Peut-être que l'amitié peut être possible entre un elfe et une créature à l'allure aussi majestueuse et sage et puissante. Il était persuadé que ce n'était pas en restant neutre que le peuple elfe allait se sortir totalement indemne d'une cohabitation avec les dragons. Les elfes avaient leur magie de plus en plus puissante. Un savoir déductif de plus en plus évolué. Des forces qui se décuplaient au fur et à mesure des génération. Si les dragons ou les elfes se sentaient menacés par l'autre on ne passerai pas par le stade escarmouche. Il le prescentait. Il en était même sûr. Mais comment approcher un dragon et négociera vec lui. Ils n'ont apparament pas de langage propre, et se situent au dessus de l'héritage du Peuple Gris. Brandur demanda au nain :
-Maître Nain. Me serait-il possible d'apprendre vos runes et de lire quelques uns de vos parchemins? J'aimerai connaître vos légendes sur les dragons. J'avous qu'ils m'émerveillent.
-Ne soit pas abruti par leur magnificence jeune elfe! Ha ha! Il est beau de voir un dragon, mais aussi malheureux. Tous ceux qui en rêve finissent par voir se réaliser ce fantasme mais ne voient rien de plus par la suite. La vue d'un dragon est une chose qui donne pleinitude, sentiment de gloire et enfin la mort. Reste ce que tu es! Ta maudite magie te permettra de faire de grande choses, je sens en moi que tu es puissant. Mais fais attention à toi, un traque qui commence n'a que deux issues possibles. La mort du chasseur ou celle du chassé. Traquer un rêve ne te mênera donc qu'à la mort car le rêve n'est pas vivant et ne peut donc mourir. Si un jour tu vois un dragon, tue-le ou il te tuera.
-La fierté d'une vie peut-être de trouver une troisième sollution Maître Nain. Cependant ne vous tracassez pas, je ne suis ni un fou, ni un impudent. Je ne chercherez pas le danger que ce soit pour le braver ou pour y goûter.
Traquer un rêve est dangereux, mais en avoir vous permet de vivre. Un rêve, un symbole. Certain prennent l'aigle ou le loup. D'autre le renard ou l'ours. Moi je prends le dragon. Peut-être est-ce mon idéal? Un dragon est la fusion entre la magnificence, la sagesse, le mystère, le pouvoir, la finesse, la force et le rêve. Comment une créature peut-elle vivre si longtemps sinon?
-Un rêve non réalisé nous laisse toujours le goût amer de la défaite, il ne nous tue pas mais nous garde dans une semi-vie qui attend que l'âge nous détruise. Prends garde aux rêves et symbole.
-La vie est une succession de choix maître nain. Vous m'exposez ceux qui se présente à moi. Cependant j'affirme qu'il y a une troisième issue! J'ai ma vie pour la connaître. Là est mon rêve, là est mon but, j'y arriverai. La mort m'emportera peut-être après. Mais que cela n'importe! Elle me prendra un jour!
-Tu as déjà un bon raisonnement jeune elfe. Vois-tu, tu te renies cependant toi même. Tu penses, comme tes parents qu'il est inutil de croire en tel ou tel dieu. Mais tes principes. Tu y crois! C'est ta religion! Sauf que tes symboles ne sont pas des dieux peints sur des fresques mais des idéaux peints dan ton coeur. J'espère que tu évoluera aussi bie nque tu n'es parti. Pour l'instant prends ce joyau. Pour nos runes, tu auras droit à tout ton temps mais ce joyau lui n'a que ta vie pour profiter des bienfaits que tu lui feras! Et une vie c'est court! Va, retourne à tes parents petit garçon, retourne parmi les tiens, et dis leur que nous n'échangerons que des marchandises de premières qualité. Dis leur aussi de ne pas s'avancer dans le désert, il y a des bruttes sanguinaires appelés Urgals. Retourne à ta forêt et protège-toi! Désormais nos peuples sont similaires en quelques sortes. Vous avez la protection d'une forêt bénie des dieux et, nous avons nos montagnes. Va et ne reviens plus! Reste avec amis et parents, laisse venir les marchands avides et bavards. Rêve mais ne crois pas en l'impossible. Que les dieux t'accompagnent.
-Que votre vie soit heureuse maître nain!
-Arrête ne m'appeler maître! Ca me fait paraître vieux!
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MessageSujet: Re: du fyrn skulblakas   du fyrn skulblakas Icon_minitimeVen 27 Juil - 17:13

Du Fyrn Skulblakas

Chapitre 3 : La chasse.

Ils étaient déscendus pour une attaque de nuit. Et leur flambeaux, on aurait cru voir les étoiles du firmament s'installer sur terre ferme. Un croissant de flamme s'éleva dans le ciel. Les deux armées étaient prêtes. La bataille commence. Temps des héros. Temps de l'acier. Temps du feu. Temps de la magie. Temps de la mort. Les races se scrutent, chargent, recuelent, feinte, enclavent... De longues griffes zèbrent le ciel nocturne, se plantent dans les grandes créatures qui hurlent de douleur. Leur rage est décuplée. Nouvelles flameches. Un bouclier apparaît. Les premières lignes sombrent. Aile est. Un bataillon d'elfe est rompu et prend la fuite. Inaperçu.
Aussi gigantesques soient-elles, les créaturent meurent sous le nombre d'elfes. Leur rang son clairsemés. La bataille continue. L'est revient. S'écrase. S'enfuie. Ou du moins tente la fuite. Arrêtés par le brasier volant. Les elfes reculent. Ils fatiguent. Un homme altier les dépasse. Leur chef sûrement. Regarde aux alentours. Donne un ordre. Retoune dans ses rang. Les elfes battent en retraite. Le préscient soupir, ainsi son peuple allait être anéanti. Les créatures volantes arrivent à ras du sol. Les cinq premières tombent. Les elfes avaient tendu un piège magnifique! Les piquiers avaient abandonnées leurs lances et les avaient fichées dans la terre pour qu'elles hérissent le sol. La retraite n'avait juste que fait apparaître les épines du herisson elfique. De nouveau des éclairs magiques attaquent. Les flammes leur répondent. Des boucliers cèdent. L'puisement aparait. Chaque armée a perdu la moitié de son effectif mais le moral des créatures doit être au plus bas. Un de leur chef, un immense corps de la taille d'une montagne, vient de succomber à un assaut isolé. La bataille s'éternisent, les mouvents stratégiques ne sont plus. Maintenant la rage, la folie, la vangeance, la peur sont maître du jeu. L'hécatombe commence. Chaque race extermine l'autre. Chaque race voit s'écrouler un des siens. Chaque race se bat. Aucune ne pleur. Les morts seront honorés. La guerre est leur cercueil.
Enfin les deux armées s'écarte. Les plus vaillants s'éscriment encore pour blesser ou tuer. Peu à peu l'écart se creuse. Enfin une lieu. L'officier à l'origine du piège regarde le champ de bataille. Un demi sourir accompagne ses observations. L'armée fait volte face et repart vers sa forêt. Elle s'enfonce. Les oiseaux de morts arrivent. Déjà leur bal lugubre est entamé. Pas un battement. Plats comme la mort. Ils arrivent dans des cris lugubres et malsains. Ils entament leur besognent. Ne la finiront pas.Les créatures reviennent et effarouchent les vautours. L'odeur de l'elfe vivant plane encore dans l'air. La chasse commence.


Bransur parlait avec Eragon. Ils étaient avec un jeune Sersle les trois chasseur d'élite du village. Bransur rêvait plus de magie mais la chasse l'aider à penser à autre chose qu'à la forêt sombre qu'il arpentait depuis quelque moi avec ses amis, sa famille, les gens. Surtout il ne pensait plus aux dragons des légendes qui courraient déjà dans toute les forêt. Du Weldenvarden avait elle était nommée selon les ancien rites. Aujourd'hui la ville de Ceris -enfin « le village » se plaisait à préciser Sersle- avait besoin de plus de viande qu'à l'accoutumée à cause d'une festivité en l'honneur du printemps. Ils ne devaient tuer que du gibier herbivore ou granivore. Tout carnivore devait être respecté. N'ayant pas de chien les elfes chassaient grâce à leur ouïe surdéveloppée et à leur odorat très performent, bien que plus faible qu'un animal. Leur vue s'accoutumait facilement au noir, ainsi ils pouvaient chasser dans les coins les plus sombres de la forêt. Déjà après une heure de chasse Bransur avait capturé deux lièvres et tué deux grives. Eragon avait optenu un résultat presque similaire et Sersle, lui se retenait, il ne chassait pas vraiment aujourd'hui. Devant l'attitude si inhabituelle de leur compagnon habituellement meilleur qu'eux et surtout plus enthousiste qu'eux Bransur s'enquerra :
« -Qu'as-tu? Tes parents te manquent? A moins que tu n'aies pas bien dormi?
-N'importe quoi. C'est juste que nos proie sont ridicules par rapport à nos capacités.
-Une proie plus grosse est la pluspart du temps un carnivore. Nous ne les chassons pas. Intervint Eragon.
-Oh je ne m'y abaisserai pas mais je trouve ridicule les proies que nous attrappons. Nous sommes rapides, furtifs, forts. Nous pouvons nous attaquer à gros. A fortiori nous avons la magie.
-Tu sais bien qu'il est autorisé de chasser avec la magie alors fais-le, nous sommes les meilleurs chasseur de par nos capacités d'archers mais rien ne nous empêche d'utiliser la magie, le calma Bransur
-Bah tu ne comprends pas. Nous avons deux dons distincts. Et aucun de nous ne cherche à les allier. Utiliser la magie seulement? A quoi bon. Le plaisir de la traque, la fierté de voir sa flèche faire écrouler la bête, le besoin de se mettre face au vent qui nous offre sa carresse disparaitraient. Il nous faut fusionner la magie et nos compétences. Dans ces chasses c'est inutile et en plus nous ne pouvons pas le faire, à peine avons-nous touché nos pouvoir que toutes nos proies se rendent. Il faut des proies plus intelligentes, plus grosse plus magiques!
-A t'entendre parler je me demande si la seule créature que tu décris n'es pas un elfe. Arrête de te faire des soucis pour cela, nous avons plus que n'importe qui en étant ici. Nous sommes libre, personne ne nous surveille, nous chassons mais nous pouvons aussi parler à coeur ouvert sans utiliser de demi-vérité. En plus nous pouvons nous aventurer là où les autres ne vont jamais. Dis moi qui a eu l'occasion de voir la prairie de la dernière fois avec sa myriade de couleur. Qui a pu voir autant de fleur, d'animaux, d'arbre, de beauté? Si je me souviens notre ami Eragon en avait cueillies quelques une pour sa fiancée! S'exclama Bransur
-Ce n'est pas ma fiancée mais ma mère. Vous m'énervez tous les deux avec vos histoires!, conclut Eragon en rougissant. Sur ce il encocha une flèche, banda son arc dans un même geste, fit le vide autour de lui et... lâcha la flèche qui se ficha dans une perdrix sur l'envol. Il exiba son trophée et fit une courbette. Ils rièrent de bon coeur et les discutions reprirent bon train. Sersle ratrapa son retard en tuant à lui seul troi membre d'un troupeau de biches. Les trois flèche se plantèrent l'une après l'autre dans le coeur des biches. Le soleil déclinait. Eragon ordonna une halte il construisirent un abris de fortune bien que la pluie ne tomberait pas en cet été toride. Bransur s'occupa du feu, il cuisit selon quelque recette un perdreau et il mangèrent tout trois à leur faim. Au son du hibou Eragon prit le premier tour de garde, au cas où un ours ou autre grand prédateur rôderait dans les parages. La nuit fut douce, la chaleur ne les cuit point grâce à l'aide d'une petite brise du nord qui les raffraîchissait, donnant même des frissons au téméraire Sersle lorsque vint son tour de garde. Le lendemain, c'est l'esprit reposé qu'ils reprirent leurs activités. Une nouvelle fois la chasse fut bonne. Le gibier était abondant, ainsi ils avaient assez de nourriture pour retourner cers Ceris lorsque le soleil était à son zenith;
Cependant Sersle n'était pas satisfait une nouvelle fois. Lorsqu'enfin Ceris devint un point sur l'horizon sylvesque, il s'arrêta et dit :
« Tenez je vous donne ce que j'ai chassé, apportez le au peuple, je vais chasser plus grosse proie. Tenez je vais même essayer de prouver que les dragon existent. Si oui je vous ramène ses écailles et en fait mon armure. Ce sera mon dernier meurtre mais au moins e serait arrivé à bout de mes désirs. »
Et il ne savait pas à quel point il avait raison en disant que ce serait le dernier. Les dépouilles de gibier tendues à ses amis il s'enfuie en courrant. Comme un voleur. Un voleur de paix...
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MessageSujet: Re: du fyrn skulblakas   du fyrn skulblakas Icon_minitimeDim 5 Aoû - 15:12

Chapitre 4 : Le commencement de la fin.

Cette fois-ci il n'avait même plus un semblant de contrôle sur son funeste voyage. Comment les elfes avaient-ils pu en arriver là? Enfin, sa vue troublée s'éclaircit, il allait franchir la prochaine étape. Peut-être celle-ci donnerait enfin réponse à sa question... Il ne savait même pas si c'était réellement ça qu'il désirait. Il savait qu'une fois terminée, sa trance, alliée à son âge, le ferait mourir. Il devait tenir. Mais pour voir quoi? Un jeune garçon. Un chasseur elfe. Il avait l'air déterminé. Mais le poid de la guerre ne pesait pas sur ses épaules. C'était une bonne nouvelle. Les elfes allaient au moins pouvoir vivre un certains temps heureux dans le nouveau continent. Il devait le suivre, la magie l'avait mené là, il y avait une raison. Un coup d'oeuil à la forêt. Elle était vivante, verte, rouge, jaune, brillante, mystérieuse. Un endroit parfait... Les elfes s'y étaient sûrement installés, eux qui cherchaient la perfection. Un oiseau chantait gaiement. Un cabri sauvage sautillait vers le jeune homme, qui ne risquait pas de le chasser vu les denrées qui débordaient de son sac de chasseur. Cependant, il avait l'arc à la main, et il cherchait quelque chose. Le préscient passa devant le jeune homme pour voir son visage. Il était tout sauf détendu, son nez était pincé comme s'il se relevait d'une humiliation, son ses yeux regardaient tout. Ses yeux. Une étincelle brillait en eux. Pas une étincelle de bravoure, de rage, ou de quelque sentiment. Non, une étincelle de magie. D'une magie qui donnait une perseption accrue. D'une magie pure et puissante. Sa traque devait avoir une énorme ampleur car les leures étaient placés à tous les endroits stratégiques possibles, son ouïe était ouverte à la moindre vibration, sa magie enfin le renseignait sur la vie alentour. Quelle bête, petite ou grosse méritait un tel acharnement? Etait-ce un prédateur crain par le village elfique? Non. Un groupe de sanglier enragés peut-être? A cemoment là il se trompait de chemin, des sabots fendus courraient vers l'est et l'elfe se dirigeait plein nord. Cela devait être autre chose et sa traque venait de débuter car il évitait toutes les pistes. Il les évitaient c'était certains, chacun de ses sens à l'affût il avait tout repéré, et son sac approuvait qu'il avait chassé pour avoir des provisions. Pourquoi sa transe l'avait-elle amené à ce moment du futur? C'était un chasseur qui voulait venger la mort d'un proche voilà tout... Il avait repéré quelque chose. Il humait l'air puis enfin partait au pas de course. Une blessure et l'état de ses vêtement prouvèrent au préscient qu'il s'était trompé et que cela faisait quelques jours au moins qu'il chassait. Il le suivit. Le fait de n'être présent que par l'esprit lui donnait le pouvoir de se déplacer à la vitesse qu'il désirait et autant de temps qu'il le voulait. Les heures passèrent et l'elfe courait toujours tout en élargissant l'effet de sa magie. Soudain, Une masse sombre descendit en piqué non loin du jeune elfe. Un sourir en coin éclaira son visage puis il grimpa dans un arbre et se tint prêt. Un craquement sinistre retentit. Un sifflement. Un hurlement. Une flammèche. La masse sombre s'envolait. L'elfe repartait à la chasse. Cette fois ci sa cible était bléssée. Le prescient venait de comprendre pourquoi il était là. La guerre commençait par une traque. Une traque pour ambitieux. Il suivit l'elfe. Un nouveau bond dans le temps. Cette fois ci il n'était pas de quelques années mais de quelques jours. L'elfe, complètement débraillé avait rattrapé la créature. Il envoyait une flèche, entourée de feu. Une flèche teintée de magie. Celle-ci ne fut pas accueilli par le montre tressaillement. La créature était morte sur le coup. Dès lors le prescient aurait eu le souffle coupé si dans cet état il avait du souffle. Une aura magique entoura la bête, un mot survint dans son esprit. Un mot puissant, magique, fort : skulblaka. La guerre avait commencé. Le Du fyrn Skulblaka était entamé. Ou du moins allait-il l'être dans les prochaines années. Oui la sécheresse sonnerait la mort des elfes. L'aura s'agrandi, et toucha le préscient. Elle le toucha! Il ne pouvait plus resister. Dans un hurlement que seule son esprit connaissait, il quitta sa trance, il quitta le futur,il quitta le monde des vivant.

Bransur s'en voulait d'avoir laissé son ami sur les chemins avec comme seul compagnon la sertitude de pouvoir tuer un gros prédateur. Un dragon. Seule, la cible pouvait abattre une centaine d'elfe sûrement et Sersle s'entêtait à le chasser en solitaire. Peu importe. Il allait rentrer au village pour donner le fruit de leur chasse et ensuite il sentirai le délicat fumet des plats cuisinés par quelques femmes. C'était un moment merveilleux pour lui. Et son odorat très développé lui permettait un plaisir maximum. Il discutait joyeusement avec Eragon sur la manière avec laquelle les autres les accueilliraient. Le village était déjà en vue. Ils se mirent au pas de course. Une fois franchie la porte ils trouvèrent cris de joie et appels chaleureux. Le village s'était réveillé pour les trois chasseurs. Seulement il n'y en avait que deux de retour. Certains commencèrent à s'inquiéter. Bransur prit le devant et annonça d'une voix conciliante :
« Sersle a repéré un plus gros gibier, il dit vouloir le chasser avec l'aide de la magie et de ses compétences physiques réunies. Nous lui faisons confiance. Il reviendra sûrement après la fête mais le connaissant, je n'ai pas de doute sur l'avenir de sa proie.! »
Les gens acclamèrent cette déclaration. Tout le monde savait que Sersle avait un talent iné pour la chasse. S'il était parti pour une plus longue traque alors il reviendrai avec la peau de sa proie en manteau et en ferait un outil plus honnorable. Bransur remit alors les cadavres aux cuisibières et s'en fut chez lui. Chez lui n'attendaient pas ses parents qui devaient préparer la fête mais le père de Sersle. Bransur comprit vite à sa mine déterminée qu'il allait poser des question et qu'il voudrait savoir toute la vérité jusque dans le moindre détail. Bransur ravala sa salive et salua le pèrede son ami :
« -Bonjour à vous. Les fêtes seront magnifique, la forêt se prête à leur beauté.
-Mrrr, je suis las des politesse superflues, tu sais très bien pourquoi je suis là. Où est mon fils.
-Il est partie chasser un plus gros gibier, je l'ai dit, il est persuadé que c'est le seul moyen de fusionner magie et corps d'après ce que j'ai compris.
-Mon fils n'est pas un magicien mais un chasseur!
-Je l'ai vu plus d'une fois utiliser la magie de ma nière assez puissante, comme nombreux d'entre nous il a le grand don.
-Pfff oui peut-être mais il est surtout le roi de la chasse. Ce qui m'enerve d'ailleurs!
-Je sais que vous n'aimez pas la chasse et comme beaucoup vous avez choisi l'option de ne pas en manger. Notre corps l'accepte. Qui plus est si vous n'en avez jamais mangé cela ne peut vous manquer. Mais la majeure partie des elfes sont encore omnivores. Il vous faut l'accepter!
-Arrête de dévier le débat! Quel gibier est parti chasser mon fils et pourquoi ne pas l'avoir accompagné!
-Nous ne l'avons pas accompagné dans sa chasse au dragon sur sa demande, un chasseur disparu passe inaperçu mais trois non, il ne voulait pas qu'on ne le dérange. Il avait dit le mot dragon plus vite que les autres mots avec l'espoir que le père n'allait pas le remarquer.
-Comment ça chasse au dragon! Ces bestioles n'existent pas! Ragea-t-il.
-Si elles existent, de plus en plus de monde en est persuadé vu que les éclaireurs en ont fait des descriptions précises.
-Des bêtes qui crachent le feu! Serais-tu fous, les flammes ont besoin d'un combustible et d'air pour aparaître!
-Pas avec la magie! Même si cela prends de l'energie je suis sur que de telles créatures en ont un énorme réserve!
-Arrête avec ces énormités s'il te plait.
-Je ne dis que la vérité. Je ne peux pas subire votre colère pour la décision de votre fils qui est en âge de prendre sa liberté! Si vous ne désirez pas parler calmement je vous demanderai de sortir. Conclua-t-il en montrant la porte du doigt.
Le père prit donc le chemin de la sortie d'une démarche rageuse et en maugréant. Bransur était sûr qu'il n'allait pas en rester là. Il se dirigea vers son lit et ne sentit même pas les plats se préparer. LA fête commencerait dans quelques heures. La mort dans quelques jours...

Les festivités firent long feu... Les plats était succulents, la musiques envouteuse, les chants joyeux. Tout ce passa à merveille... Jusqu'à ce qu'un vieux fou quitta sa mainon et s'invita. Il commença à scander des discours apocaloptiques comme à son habitude il voyait des animaux métisses de lions et de serpents, de chevaux et d'aigles et bien d'autre. Les gens ne s'en formalisaient pas et en riaient presque. Et lui continuait à tourner autour des tables de sa démarche dodelinante. Puis d'un coup, il fut frappé d'une vive stupeur. Les elfes réunis savait qu'il n'était plus un acteur et s'inquiétèrent de son état. Mais avant qu'il n'aient pu lui donner un somnifère ou du réconfort, son corps s'illumina, il scanda des sorts puis il dit d'une voix sûre, profonde et mystique, voix qui annonçait une vision réelle du temps présent ou du futur proche :
« Ceux qui battent des écailles sont en colère! Notre joie ne les amuse pas! Leur joie à eux est brisée. La vie et la mort entrent dans le bal! Nous ne pouvons pas arrêter le temps! L'alliance du sang arrive! La guerre du sang la précédera. C'est... Le commencement de la fin! »
Il dit ces derniers mots en suffoquant. Il se tut, son coeur avec lui. La fête aussi.
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MessageSujet: Re: du fyrn skulblakas   du fyrn skulblakas Icon_minitimeSam 11 Aoû - 9:45

Chapitre 5 : Le cris, les peurs...

Les Cris du Sang... Oui elle les reconnaissait. Que se passait-il? Ils n'avaient pas retentis depuis les temps immemoriaux où les dragons s'étaient déchirés à cause de leur pouvoir, de leur mémoire. Même les nains qui, pour se vanger avaient tué des dragons n'avaient pas connu le destin funeste qu'annonçait le glas des Cris du Sang. Ces cris retentissaient lorsque les dragons étaient menacés, qu'ils étaient mort avec l'aide d'un tueur ou que la magie entrait dans un chemin qui allait à contrario du leur. Ou pire, lorsque ces trois choses arrivaient. Les nains n'étaient pas considérés comme menace, les meurtres étaient des actes de vangeances que les dragons considéraient de légitimes, et leur haine de la magie avait depuis longtemps était comprise. Que s'était-il passé pour que les Cris du Sang résonnent ainsi dans les montagnes? Blisandra craignaient. Elle était puissante. Si une nouvelle guerre éclatait elle serait la première attaquée. En effet peu ancienne, elle maîtrisait déjà les Pouvoirs Profonds et le Pacte guidait chacun de ses gestes. Le Pacte. Seul vestige de la guerre qui aurait pu brûler toute la Terre si la mort ne l'avait remportée. Oui dans les guerres seule la mort pouvait vaincre. Un grand dragon survolla le pic où elle avait elu provsoirement domicile. Les cris revirent. Elle devrait aussi y aller. Les dragons n'étaient plus solitaires lorsque les Cris de Sang étaient entonnés. Elle s'ébrouha. Banda ses muscles et laissa passer une dragonne qui accompagnait ses petits qui venaient juste d'apprendre à voler à en voir leur gaucherie. Elle banda ses muscles et regarda la vallée en contrebas. L'automne la rendait scintillante et la tombée de feuilles caduques permettait une vue imprenable sur n'importe quel gibier. L'a-pic où elle habitait descendait de manière abrupte sur l'étendue sylvesque. Une saillie de pierre, un peu plus loin offrait un exellent promontoire et la piste d'envol rêvée. C'était ici qu'avait eu lieu son premier vol. Aujourd'hui elle partait plus loin : les cris prenaient sources plus au sud, dans la Grande Forêt. Elle cria à son tour, réponse à l'appel des siens. Elle s'engageait celon le Pacte à les suivre. Il n'empêcahait qu'elle se demandait bien ce qu'il se passait.

Bransur se reveilla en sursaut. La forêt bourdonnait. Non! Elle hurlait! Que se passait-il? Peu importait, il sortit de chez lui et alla voir ce qui se passait au dehors. Sur le porche, il ne découvrit qu'une forêt endormi par la douceur qu'avait laissée le jour. Tout le monde dormait, mais déjà quelques animaux se réveillaient, effarouchés par les hurlement qui se rapprochaient de plus en plus. Il s'avança Plusieurs elfes se tenaient déjà debout prêt à voir quelque horreur arriver. Il trouva Eragon au milieu du village vec le reste des adultes. Les enfants restaient près de leur mère, dans les maisons. Les adolescent devaient rester en retrait, mais, ma plupart, déjà assez fort pour repousser leurs pères se trouvaient au milieu de la foule. Bransur intercepta eragon et fut surpris par sa mine mi terrorisée mi fascinée. Alors que les adultes se demandaient ce qu'il se passait, Eragon dit avec certitude le seul mot qui pouvait effrayer Bransur encore plus :
-Sersle.
Bransur nia en secouant la tête nerveusement, cependant au font de lui, à l'instard d'Eragon, il savait que c'était la vérité... Sersle avait chassé un gibier qui n'en était pas un. Il avait atteint son but et Bransur craignait que maintenant il ne pourait pas profiter de cette gloire. Son nom serait banni à jamais. Ainsi il entraina Eragon à l'écart. Une fois dans un endroit où personne ne les entendrait, il dit :
-Nous savons que c'est Sersle. Mais eux non. Eragon, pour notre ami. Ne disons pas que c'est de sa faute. Son nom ne doit pas être banni parce qu'il a cherché à découvrir. Les dragon vont se venger, espérons que cela en restera là! S'il te plait Sersle ne mérite pas d'être banni. Il a suivi un principe de notre peuple qui dit que c'est en posant une question qu'on a une réponse. Celle-ci risque de ne pas nous plaire à cause des conséquences mais nous savons nous défendre. Nous avons la magie. Les dragons l'ont peut-être mais dans leur instinct, cela la rend très puissante mais incontrôlable même pour eux. Il faut découvrir le cadavre du dragon que Srsle à tuer. Peut-être pourront nous empêcher d'autres meurtres!
-Personne ne nous écouterai. Pour l'instant ils sont sûrs que les dragons n'existent pas. Ils sont terrifiés par la prédiction du vieux et nous sommes trop jeunes pour avoir un poid parmi leurs réunion. Attendons les nouvelles. Oui attendons. Ne faisons pas l'erreur de nous présipiter dans un piège.
Bransur resta silencieux. Il regarda autour de lui. Une maison chantée dans le bois à la manière des elfes bordait un if centenair. L'if qui avait donné l'arc de Sersle. Il soupira. Il vit l'image du jeune homme s'accoudant dans l'arbre en disant. “Cet if à tout : la solidité, la souplesse et surtout l'expérience!” il sourit à la mélancolie de ce souvenir. Sersle était un mélange de de sagesse et d'audace. Cette fois-ci l'audace avait dicté sa volonté à la sagesse. Le monde allait changer. Une nouvelle génération allait naître. Sersle en serait le déclancheur malheureux.

Blisandra planna un long moment, se laissant porter par le long courant ascendant. Puis elle repartit en vol battu. Elle s'accomoda au vent et crea des dépressions autour de son corps afin de facilité le vol et de mieux resister à l'attirance du sol. Elle était grissée, toute cette liberté, toute cette etendue qui vous ouvrait les bras et vous permettait toutes les figures ahurissantes que vous désiriez faire. Elle adorait cela plus qu'autre chose. C'était merveilleux. Elle battit une nouvelle fois des ailes et s'engagea dans un nouveau courant chaud. Cette fois ci il était plus vertical, cela importait peu. Les vautours les préféraient aux autres car avec la hauteur prise ils pouvaient faire des lieus en descente planée une fois le courant fini. Les dragons étaient plus lourds et plus massifs, certes, mais la membranes de leurs ailes était mieux adaptée que les plumes à ce genre de vol. Ainsi elle pourrait parcourir le double de ma distance que pouvait espérer un charognard. Elle monta haut, s'obligeant à monter en spiral pour profiter plainement du courant et pour reposer ses muscles déhà fatigués. Les Cris du Sang demandaient une réponse rapide, trop rapide. Blisandra était obligé de s'imposer un rythme digne d'une flêche. Parfois elle croisait des dragons plus agés. Eux aussi filaient, mais avec plus de facilité. Finalement elle arriva à l'aurée du désert avant l'aurore, puis elle bifurqua à l'est vers la forêt. A mi chemin elle entendit des hurlements aggressifs. Un groupe d'une disaine de dragon avançait vers un groupement d'elfe. Ainsi les nouveaux arrivants étaient responsables de toute cette pagaille. Ils avaient l'air frêles pourtant. Cela l'amusa que de telles créatures aient défié les dragons alors qu'ils étaient maîtres de la terre. Personne ne pouvait les vaincre, même le nombre d'elfes paraissait dérisoir face à l'omnipotence des dragons. Elle Lança une flamèche et un grognement signe qu'elle se sentait trop fatiguée par son voyage pour accompagner les siens. Cependant une seconde flamèche, plus longue, plus chaude, plus crépitente était une bénédiction et un souhait de chance. Une demande pour un destin glorieux. De ce côté là les dragons avaient les moeurs des animaux, mais seulement de ce côté là. Après ils étaient simplement leur maître. Point.
Le village resta eveillé jusqu'à l'aube, puis, les hurlements ayant cessé, les elfes repartirent au repos réparateur. Les tâches du jours prirent du retard mais les évènements nocturnes avaient inquiété trop de monde. Le village vivait au ralenti. Chacun partageait cernes et figure fermée. Puis sur le coup de midi, alors que le soleil était à son zénith, la fin réveilla les atitudes familières. Les langues se dénouèrent et après s'être repus, les artisans repartirent de plus belle dans leur ateliers où, enfin, tout était retourné à la normal. Alors que le moral était revenu au beau fixe, un oiseau de mauvais augure vint apeurer tout le monde. Un messager arriva en courant d'un pas nerveux. Lit un message à quelques adultes et parcourut le village en pleur. Enfin reprenant une voix sans sanglot, il clama :
“ Des créatures monstrueuses, crachant le feu son arrivée hier dans une ville à l'orée de la Gardienne! Jamais je n'avais vu pareil haine dans le regard d'un animal. Ni pareil pouvoir. Ils ont attaqué la ville. Croquant dans nos guerriers et embrasant nos habitations. De la dizaine de dragons qui ont attaqué, seul un a pu être tué par nos magiciens! Un autre a été blessé gravement par les archers mais il était trop ancien, sa masse et l dureté de ses écailles ont suffit à le protéger. Aidez nous, la guerre éclate. Nos magiciens ont essayer de reconstruire certains bâtiment. Les ordres ont été clairs! En priorité l'armurie et la bibliotèque. Chaque elfe est désormais armé d'un arc. Nous ne savons plus que faire. Plutôt que de mourir de famine dans l'ancien continent nous allons mourir d'une guerre impossible à gagner dans celui ci où nous avions une prospérité certaine. Notre peuple est maudit!”

Incroyable! Les elfes avaient pu tuer un dragon qui avait déjà prouver sa force et sa puissance. Un dragon ancien et effrayant de pouvoir. Maintenant elle comprenait les buts des cris du Sang. Les elfes étaient puissants et voulaient la magie. Elle n'était pas instinctive chez eux. Elle leur avait permis de créer des armes assez fortes pour envoyés des bâtons à bouts brillants transpercer les écailles et le cuir des dragons. Leur magie avait pu casser la pâte d'un des attaquants. Celle ci ne se réparerait pas. C'était clair. Les os étaient réduits en bouillies et l'articulation était déplacée. Elle compressait un muscle, l'empêchant de fonctionner. La jambe ellait se perdre lentement et douloureusement. Le moindre choc ferait que les os transperceraient les veine. Il était impotant. Pire que mort... Il volerait encore mais l'attérissage serait de plus en plus difficile. Il finirait par tomber, se casser l'échine. Oui, pire que mort.
La guerre avait commencé. Elle ne finirait pas, ou du moins les rencoeurs seraient toujours là.
Pour une nouvelle nuit, les Cris du Sang retentirent. Une nouvelle attaque allait avoir lieu du côté de la mer, c'était de là que la clameur venait. Les dragons n'avait plus qu'à espérer que les elfes resteraient sur leurs positions défensives. Pour la première fois depuis le Pacte, les dragons avaient peur. Cela se ressentait. Ils s'étaient rasemblés et ça c'était mauvais signe. Pour les elfes surtout. Mais les dragons avaient peur et dans que la peur les aurait sous son joug, le sang coulerait, les flammes rouleraient et les ces bâtons massacreraient les siens. La magie avait fait naître un nouveau conflit. Seul un nouveau Pacte saurait le terminer. Seulement cela paraissait impossible, il y avait deux races et non une...
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MessageSujet: Re: du fyrn skulblakas   du fyrn skulblakas Icon_minitimeMar 21 Aoû - 15:25

Chapitre 6: les pactes

Encore des morts bien inutiles. Le Peuple ne pouvait s'entre-tuer de cette manière. Il fallait trouver un moyen. Un jour un groupe de magicien, plus puissantes les uns que les autres se réunirent. Sous l'ordre du roi du Peuple il se rendirent au font d'une caverne sombre pour y réfléchir. Ils devaient trouver un moyen pour arrêter les tueries inintentionnelles. Chacun des magiciens jura sur son honneur qu'il ne sortirait pas de la grotte tant qu'il n'aurait pas trouver un moyen, une solution, un remède. Ils s'en furent. Le Peuple les soutint et les attendit. Il ne revinrent pas. Accaparé par ce nouvel échec les gens se recroquevillèrent dans un espoir fou que la mort n'existerait plus. Chacun chercha le moyen de la vaincre. Tous ceux qui essayèrent échouèrent. Tous s'isolèrent, plus rien n'existait. Cela dura trois ans. Au bout de ces trois années les magiicens sortirent de leur exile et arrivèrent, aveuglés par le noir total de la grotte, devant le roi. Tout en eux avait changé. Ils ne voyaient plus, leur peau n'était plus teinte, leur voix était stridente. Leur pouvoir était encore plus grand. Le roi trembla de les voir ainsi, et un moment il craignit que ces magiciens l'attaques. Mais l'un d'eux annonça qu'ils avaient trouvé une solution. Qu'ils avaient juste besoin de repos et d'autres magiciens. Si tous les mages du Peuple pouvaient venir; la solution envisagée serait une réussite certaine. Le roi acquiesça et mit à disposition les chambres les plus luxueuses de son palais. Cependant les magiciens déclinèrent l'offre du roi. Et lui dirent que le seul repos qu'il voudraient après la victoire serait un repos éternel. Seulement leur serment les empêchait d'atteindre ce repos sans l'aplomb du roi. Une première fois le roi refusa. La peur l'avait envahi. Tuer la fine fleur de ses magiciens était hors de question. Sans compter le risque de tuer les autres. Sa femme mourut. Une nouvelle bataille avait éclaté et rien ne pouvait l'arrêter. Le roi essaya de trouver un moyen dérivé. Les magiciens refirent leur demande. Le roi refusa et à force de dons, d'aide aux blessés et de promesses il parvint à calmer les esprits. Cependant la guerre était toujours présente. La magie était une bénédiction et une malédiction. Le Peuple allait disparaître. Désormais tout était menacé, le Peuple certes, mais aussi la magie et surtout, la Vie... Le Peuple était à son apogée, et il se félicitait de son aide à la nouvelle race qui était apparue. On la disait fille de la nature. Le Peuple l'avait appelée la race elfique. Maintenant elle allait mourir sans avoir pu se développer. Le roi n'y pouvait rien. Si! Il devait accepter la propositions des mages. Mais il ne le pouvait pas. Non, il ne le pouvait pas. Cepedant même si la guerre ne pouvait continuer elle continua. Et le fils du roi mourut à son tour. Les mages proposèrent de nouveau leur solution avec ces mots :
« Seigneur, notre peuple meurt à cause d'une guerre ravageuse et dont les raisons sont oubliées. Vous nous avez chargé d'une mission et nous l'avons accomplie. Cependant nos recherche nous ont fait oublié la vie, qui, maintenant nous effraie. Nous devons conclure un pacte avec cette énergie que nous appelons la magie et la canaliser. Nous savons comment faire, il nous manque cependant une quantité considérable d'énergie. Appelez vos mages, c'est la seule solution.
Oui vous avez compris qu'après cela notre peuple dépérira petit à petit. Alors prévoyons sa succession dans le pacte que nous allons créer. Faisons que notre successeur soit la Fille de la Nature. Appelez aussi un elfe, il fera parti de l'enchantement et son peuple avec lui! Faite je vous en supplie au nom de notre mission. Au nom du Peuple dont le nom s'est perdu! Au nom de la VIE! »
Le roi entra dans une colère noire. Mais elle n'était dirigée que contre lui même, puis une fois calmé il envoya tous ses messagers demander aux mages de venir mettre fin à cette guerre. Puis il demanda au plus jeune de partir vers les elfes et d'en ramener un chez au palais. Deux jours plus tard tout le monde était là. Les mages se placèrent dans un cercle imense l'elfe arriva au milieu. Tandis que les grands mages qui avaient trouvé la solution incantaient, les autres restaient silencieux, se contentant de donner leur énergie au sort. Cela dura deux heures. Deux heures durant lesquelles l'elfes vit surgir en sa mémoir des dizaines de mots dont, instinctivement il comprenait le sens. Puis le glas de la fin sonna. Alors qu'un à un les gens du peuple s'écroulaient, l'elfe ouvrit les yeux et dit dans une langue qu'il ne comprenait pas quelques paroles de remerciement. Puis horrifié à la vue du roi et des magiciens dot la peau était désormais grise il partit en courrant, porté par un nouveau pouvoir. Quand il arriva chez lui il entreprit d'apprendre cette langue aux siens. Les autres, comprenant qu'elle était magique et qu'elle désignait la nature des choses, l'apprirent et la prlèrent jusqu'à la fin. Du moins s'il y en a une. Car comme promis il furent les descendant du Peuple, qui, peu à peu disparut de la surface de la terre. L'elfe qui avait reçu l'héritage l'appela le Peuple Gris, couleur de sagesse. De cette époque on ne sait rien d'autre, cependant, on raconte que le Peuple Gris choisit chaque année parmis les morts un nouveau détenteur de l'Héritage et que celui-ci peut intervenir dans la vie des vivants via une crypte cachée. Lui et les âmes de ses prédécesseurs y logent et prodiguent leurs conseils.
On raconte Que cette crypte se cachent derrière un rocher et que seule une personne qui connait son vrai nom peut l'ouvrir. On l'appelle la crypte des ames...

Flamèches... Fournaise... Feu magique... Les dragons se battaient désormaisdepuis plus d'une année. Les raisons étaient déjà oubliées. Les Cris du Sang retentissaient tous les jours. Aucun repos n'était possible. Le ciel était rouge constellé d'étoiles filentes multicolores. La terre, elle n'avait pu vu la couleur du vert depuis des mois. Le vent brûlait les dragons eux même. Plus rien en cette terre désolée ne pouvait accueillir la vie depuis que les dragons avaient exploré leurs pouvoirs. La magie. Elle leur était monté à la tête autant que le pouvoir s'était écoulé dans leur sang déjà bouillant. Certains avaient rejeté cette magie, préférant celle de leurs muscles pouvant broyer les pierres. D'autre en avaient pris un peu pour juste aller plus vite dans le ciel, ou percevoir plus facilement leurs proies ou même les anéantire avec des pulsions mentales. Mais les pires avaient était jusqu'à tenter de modifier la matière en profondeur et certains avec brio ! D'autres étaient restés neutres au départ. Mais les choses ont vite changé. La puissance des uns, la volonté des autres, la sagesse des derniers ont vite eu raison de cette neutralité. Aujourd'hui on ne parlait plus de matière ou de chasse ni même de casser des pierres. Non. Tout avait changé. Aujourd'hui tout ce qui ne brûlait pas avait fondu, les pierres avaient été oubliées, c'étaient les os que l'on cassait. La chasse était inexistante, le butin des victoires de bataille était de la chaire de dragon. Les quatre coin du continent souffraient de cette guerre de pensée. Le sang des dragons était trop chaud pour que l'un des camps se rendent après une défaite qui pour eux ne représentait rien. Un surplus de moral? Même pas. De puissance? Non plus... Ils perdaient de plus en plus d'énergie durant les combats aussi inutiles les uns que les autres. Rien ne pouvait arrêter le massacre. La fin des dragons avait sonné... Seulement personne ne s'en souciait. Aucune autre race n'était là pour se plaindre. Aucun autre clan ne venait avec une puissance plus grande que les autres. Quant-au pacte. Si parmis nos races actuelles il désigne un grand évènement, et surtout une paix réelle. Les dragons n'avaient aucun équivalent dans leur langage casi animal, fait de grognements, de gestes et d'images mentales. Cependant le cataclysme n'est pas arrivé. Aujourd'hui le monde existe et le prouve. Les dragons on donner un sens à ce que nous appelons un pacte. Ils l'appelle le Pacte du Destin. Seul le chef des dragonniers le connait. Et son dragon. Peut-être aussi les autres dragons. Cependant tout se perd. Les fiers dragons méprisent ceux qui servent les elfes. Cependant, de mémoir de dragon. On sait comment le Pacte a vu le jour. Comment la Grande guerre de la magie s'est terminée.


Le feu remonta des entrailles de Blisandra. Il embrasa l'air durant une longue minute. Elle fouetta de sa patte le flot de bâtons qui volaient vers elle. C'est là qu'elle compris que là où était la force des dragons naissait leur faiblesse. Lorsqu'un dragon est en vol, il s'offre entier aux projectils des petites créatures qui avaient tué déjà bien des dragons. En plus ces bipèdes étaient très nombreux et pouvaient prospérer avec n'importe quelle nourriture. Ils étaient des chasseurs mais aussi des proies... pour les dragons. Ils s'étaient protégés derrière des rondins bois dressés et taillés en pointe par le dessus. Il y avait plusieures epaisseurs! Cela donnait un rire ironique à Blisandra. Que pouvait bien faire des rondins ainsi positionés à des dragons? Ils passaient naturellement au dessus. Là son ironie prit fin. Les palissades, brûlées ou non cachaient des dizaines de verticaux embuscés. Leurs branches étaient renforcées par une pointe grise est brillante. Et elles faisaient mal ! Elle penétraient dans le cuir épais des dragons et les faisaient saigner. A cours de souffle et souffrant milles maux, les dragons finissaient par mourir. Même les petits verticaux ne faisaient pas autant de dégats dans leurs montagnes où il pouvaient se cacher facilement. Une douleur fulgurante se propagea dans l'aile gauche de Blisandra. Elle cracha des flammes en directions des maisons de bois. Un éclair vert arrêta une infime partie de son feu. Mais cela suffit à désapointer la dragonne qui revint à la réalité quand les siens hurlèrent de rage et utilisèrent la magie de Pacte. Elle les imita. Ses yeux brillèrent et leur teinte pris celle du diamant. Elle battit des ailes et une immense raffale intensifiée par la magie fit s'envoler les frêles édifices de bois. Toujours par magie elle amplifia le son de son hurlement obligeant les bipèdes à se boucher les oreilles. Les dragons s'en furent épuisés, blessés, anéantis par cete résistante improbable et magique. Une nouvelle fois les cris du sang rententirent.

L'heure de la grande bataille avait sonné. Chaque camp de dragon s'était rassemblé dans un même lieu et donnerait l'assaut en même temps que les autres. Seule la magie qu'ils déploieraient les différencieraient des autres. Les cris du sang retentirent n dernière fois et tous s'envolèrent dans une rage infernale. Tous les dragons attaquèrent tuant ceux qui n'étaient pas de leur clan. Le champ de bataille devint flou. Personne, même les dieux n'on pu savoir si à un moment un can prit l'avantage. Seul le lieu du combat peut être donné. Le milieu de ce qui est aujourd'hui le Haddarac. Une aura magique entourait la bataille et se mélangeait à la poussière déplacée par les bâtements d'ailes. Puis l'aura céda. Trop de magie la nourrissait. Un immense grondement se fit entendre. Même le tonnerre du pire orage en eut peur. Une tornade de feu naquit. Elle ne brûla aucun dragon mais commença à les vider de leur énergie. Il y avait tant de dragon que la tornade resta active durant des jours. L'énergie des dragons semblait inépuisable. Puis les combats se terminèrent la rage laissant place à la fatigue et à la rédemption. La tornade se transforma en éclair qui frappa chaque dragon. Et chaque dragon était atteint par un éclair de la couleur de ses propres écailles. Puis laors que les dragons, pour la première fois de leur histoire prenaient peur, l'orage s'arrêta. Le soleil revint. La vie revint. La lune revint. La mort recula d'un pas. Ce jour là, les dragons communièrent pour la première fois de leur existance. Leurs esprits s'entrelacèrent. Un serment fut prononcé. Jamais les dragons ne devraient replonger dans ce genre de guerre contre eux même. Leur magie était assez grande, plus grande que n'importe quelle autre. Elle ne devait pas se renforcer sous peine de les détruire.
Ainsi le destin des dragons fut scellé. Ainsi Le Pacte du Destin fut créé. Ainsi la Grande Guerre s'acheva.

Encore ! Les dragons avaient encore attaqué un village ! Les elfes allaient répliquer. Il le fallait. Des guetteurs avaient repéré un groupe de trois dragons à l'orée de la forêt. Cinquantes elfes iraient les tuer en guise d'avertissement. En tant que chasseurs, Eragon et Bransur accompagneraient les adultes dans leur quête et resteraient en arrière garde... Il se mirent en route peu après le zénith. Un repas léger mais énergétique avalé, il s'enfoncèrent dans la forêt. Le début de l'automne roussissait déjà les feuilles des caducs les plus fragiles. Des noisettes tombaient sur le chemin, vite ramassées par un furtif écureuil. Puis le crépuscule arriva accompagné de l'orée de la forêt. La traque commença. On chercha des pistes par groupe de dix. Le groupe qui trouverait devrait envoyer un signal magique aux autres. Etant accompagnés de chasseurs aggéris, les magiciens du groupes eurent tôt fait de trouver une piste et de prévenir les autres. On suivit cette piste durant trois heures et il faisait nuit noir lorsque trois dragons rouge sang furent aperçu. La bataille commença.

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artragis
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MessageSujet: Re: du fyrn skulblakas   du fyrn skulblakas Icon_minitimeSam 1 Sep - 11:51

Chapitre 7 : Les frayeurs





Un dragon. Un animal
avaient affirmé les elfes du temps de Du Fyrn Skulblakas. Mais
après la question en elle même a été
oubliée. Cependant j'ai une bribe de réponse. Un dragon
est un mélange d'enérgie sauvage et de muscles
surdévelopés. C'est l'intelligence, le messager de la
peur. Un dragon n'a pas peur, il porte la peur...


Livre de Beloth le Sage





On se
déploya rapidement autour des dragons. Les elfes étaient
encore cachés et les dragons n'avaient pas l'air de se douter
de leur présence. Malgré les trois imposantes
créatures, les elfes pensaient avoir la certitude de la
victoire. Ainsi les elfes scrutèrent les dragons rouges durant
une vingtaine de minute. Personne ne bougeait. Aucun signal n'était
envoyé. Bransur, lui, admirait la stature altière et
puissante du dragon qui s'endormais au milieu des deux autres.


D'un
coup un frisson parcourut les elfes embusqués. Un dragon
humait l'air. Il s'agitait, réveillant ainsi les autres. Cette
fois ci une breve lumière éclata -le signal- et un sort
fit taire pendant un petit moment le géant. Bransur encocha
rapidement une flèche dont l'empène était
parallèle à la pointe pour tuer le dragon qui se
dressait sur ses postérieures. Il en tira trois ainsi. Deux
d'entre elles parurent faire mouche, sa troisième fut
colériquement rejetée d'un geste ample de l'antérieure
droite. Heureusement les autres elfes s'étaient mis en action
et faisaient pleuvoir les flèche sur le dragon qui enclanchait
déjà une charge, ne sachant où cracher du feu
sans pouvoir se blesser lui même. Les elfes avaient choisi la
tactique du un par un. Chaque dragon recevrait tous les efforts
réunis des elfes. Cependant Les deux autres dragons s'étaient
réveillés et hurlaient de rage. Ces cris de guerres
remplirent leur office car un instant la salve de flèche
disparut... Pour repprendre aussi vite. Les elfes restaient quant à
eux silencieux et changeaient souvent de place pour ne pas donner de
cibles aux dragons. Ces derniers avaient choisis l'endroit parfait
pour un repos mais pour mener une bataille c'était le pire de
tout. Les arbres toufus les empêchaient de décoller
ensemble et de voir ce qui se passer au sol une fois qu'un dragon
était en l'air. Ces mêmes arbres étaient
tellement secs que la moindre flamèche les aurait allumés
et le vent aurait dirigé le feu droit vers les dragons. Le
lieu était vaste pour les elfes mais pour trois dragons cela
limitait le champ d'actions. A fortiori pour trois dragons géants
et enragés qui bougeaient de manière brutale et ample.
Si l'un d'entre eux déployait les ailes il empêchait les
deux autres de se servir de leur crocs, les forçant ainsi à
se lever et à découvrire leur ventre, leur faiblesse.
Bransur continuait d'envoyer des flêches dans le poitrail de la
première cible. Il compta vingt cinq flêches avant que
l'animal ne meurt. Il en avait presque épuisé tout son
carquois ! A ce rythme là il ne pourrait plus rien faire pour
les deux autres! Le pire était que d'un coup d'oeui à
ses compagnons de chasse lui assurait qu'ils étaient tous dans
la même cas. Comment pourraient-ils abattre les deux autres?


Bransur
sursauta quand le premier dragon tomba dans un dernier râle
agonisant. Cela le rappela aux souvenirs de son ancien ami, Sersle.
Eragon et lui savait pourquoi ils étaient là, ils
avaient blâmé Sersle mais que faisaient-ils de mieux que
lui? N'étaient-ils pas en train de chasser et d'abattre des
dragons? Eragon et lui n'avaient-ils pas trouvé étrange
qu'on utilise à la fois ses capacités physiques et sa
magie pour la chasse? Mais que faisaient-ils d'autres sinon attaquer
les dragons à la fois avec leurs flêches et leur magie
simultanément? Bransur secoua la tête pour chasser ces
pensées parasites. Il encocha une nouvelle flêche et
visa le dragon que les autres elfes avaient pris pour cible. Il ne
vit que très tard le second l'attaquer ailes déployées
et griffes au dehors. Maintenant qu'un dragon était mort les
deux autres pouvaient se défendre avec tous leurs moyens et
donc beaucoup mieux ! Quel paradoxe ! Bransur s'enfuit dans les
arbres et visa le poitrail du dragon. Il prononça quelques
mots d'ancien langage et la flêche fut entourée d'une
aura verte jusqu'à l'empenage. Il continua de psalmodier d'une
voix inintelligibles des phrases qui renforçaient l'intensité
de l'aura. Puis il attendit, sentant son énergie le quitter
peu à peu à cause de la magie. Il espérait que
le dragon allait prendre la bonne position dans peu de temps, ou il
serait incapable de mettre son idée à éxécution.
Il resta perché sur une grosse branche à observer la
bataille qui avait lieu sous lui. Le second dragon cherchait toujours
à attaquer des elfes qui bougeaient tout le temps et se
mettaient en dehors d'atteinte. Aparament les deux dragons restants
avaient compris que les elfes allaient des détruire un par un.
La cible ayant trouvé comme seul recours de s'envoler hors
d'atteinte. Seulement les elfes avaient enticipé et s'étaient
approchés pour l'encercler. Cependant le dragon refusa d'être
pris au piège et il se dressa sur ses postérieurs dans
l'intention de se laisser tomber de tout son poids sur les elfes qui
en seraient écrasés. C'est là que Bransur passa
à l'action. En un rien de temps il ajusta sa visée et
tira la corde jusqu'à sa limite. Enfin il la lâcha. Son
arc parru vibrer mais Bransur le tint fermement. La flêche
partie à toute fitesse droit sur l'endroit suposé de la
cage torasique du dragon. Le dragon tourna la tête quand il
entendit le sifflement provoqué par le projectile. Mais il ne
pu l'éviter. La flêche se ficha en plain poitrail. Le
dragon eut un sursaut de surprise devant la force de l'impacte. Il
chercha l'expéditeur des yeux. Et le trouva. Et le fixa.


Bransur
fut d'abbord attiré par la profondeur de se regard. Puis
lorsqu'il fut comme hyptnotisé l'attirance vira à
l'angoisse. Une angoisse venue des entrailles qui lui étreignit
la gorge. La colère qui brûlait dans les yeux du dragon
était une flamme froide et sans pervercité. Elle était
pure. Feu de colère brûlant sur braise de peur. Puis
enfin le dragon quitta des yeux le jeune elfe pour hurler à la
mort. Un hurlement déchirant qui accompagnait la magie qui le
tuait. On voyait sur son corps des veines qui enflaient encore et
encore, puis elles éclataient laissant le sang couler
librement dans tout le corps du reptile. La membrane des ailes devint
opaque. Puis enfin le dragon tomba sur les elfes qui s'écartèrent
en désordre. Cette fois ci ils avaient vraiment eu peur...
Tous étaient paralysés. La stupeur les éprenait.
Mais le plus bouleversé restait Bransur. Comment pouvait-on
tuer telle créature? Comment pouvait-on tuer un être
aussi intelligent? Pourquoi avait-on chassé un être
aussi intelligent? Comment l'avenir serait pour les deux races?


Tous
furent réveillés de leur léthargie par un cri
encore plus puissant que les précédents venant de
l'ultime dragon. Qui s'enfuyait. Heureusement. Ou malheureusement.
Personne ne pouvait parier là dessus. Bransur, lui entra en
action. Et c'est la larme à l'oeuil qu'il prit le chemin de la
fuite. Il était encore incertain de sa destination, tant qu'il
partait d'ici...





Blisandra
enrageait! Comment ces bâtons avaient-ils pu lui entailer ainsi
les ailes? Et surtout comment avaient-ils pu ainsi tuer un dragon
bien plus âgé qu'elle? Comment? Si les dragons
connaissaient les larmes elle en aurait sûrement pleuré.
Elle s'ébroua à cause de la douleur lancinante. Les
dragons avaient un seuil de souleur élevé. Ainsi,
Blisandra ne sentait que des picotements aigüs mais surtout
énervants. Elle s'étonna pendant un moment du silence
qui reignait à l'orée nord de la forêt. Les cris
du sang s'étaient tus. Elle râla gravement. Il n'y avait
que deux solutions à cela. Soit la guerre avait complètement
débuté et les cris du sang ne seraient employés
qu'en cas de bataille. Soit une nouvelle donne était arrivée.
Cette chose Blisandra la connaissait. Ou plutôt serait capable
de la reconnaitre. Jamais cette impression n'était
apparue chez elles. Mais elle n'était pas tous les dragons.
Elle en conclut que la guerre avait commencé. Mais cette fois
ci il y avait deux races pas une seule. Seulement la magie était
une nouvelle fois au coeur de la bataille. Ces bipèdes étaient
puissants par leur nombre et par leur capacité à allier
leurs magies... Les dragons étaient trop personnels. Un coup
d'oeuil sur le ciel la détrompa. Un groupe de dragon volait à
toute vitesse. Elle hurla et leur envoya des images mentales pour les
prévenir du danger qu'ils couraient. Ils la rejetèrent.
Les dragons étaient fous. Jamais ils n'auraient repoussé
un avertissement auparavent. Ils étaient trop rares pour être
négligés ! Ceux là allaient droit vers la forêt
profonde pour tuer les elfes à la source, mais comment
attaqueraien-t-ils? Sels certains endroits étaient assez
larges pour laisser passer des dragons. Elle ne les suivraient pas
elle retournerait là où elle avait été
blessée. Elle refusait d'en rester là. Si la guerre
avait été déclarée soit elle trouverait
un moyen de vaincre les elfes soit elle trouverait un moyen de tasser
les choses. Pour l'instant seule la première solution était
potable. Une nouvelle fois elle comunia avec sa magie pour se
soigner. Cette fois ci la douleur fut réelle, elle sentit
brûler son énergie sur ses plaies. Puis enfin cela se
calma. Plus de douleur, plus de saignement. Seulment on voyait encore
des petits trous dans la membranes de ses ailes. Elle avait tout
planifié. Elle trouverait un groupe, en prendrait la tête,
et repartirait là d'où elle avait fuit. Pour l'instant
lle devait récupérer. Elle s'endormit. Elle se reposa
paisiblement. Toute bribe de peur disparue. Elle était une
dragonne, elle vainrait et tuerait. Elle serait crainte et admirée.
Peut-être même vénérée par les
bipèdes. Oui elle ferait tout cela le lendemain. Un petit
ronflement se fit entendre. Blisandra dormait et rien d'allait la
réveiller. Pas même le dragon bleu nuit qui vint se
lover à quelques pas de là...













Clint d'oeuil à
Aryashurtugal...
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