Murtagh arriva sur sa couche au château du roi, Galbatorix, le tyran, après la plus belle et impressionnante correction qu’il n’ait encore à ce moment jamais reçu lors de sa misérable existence qu’il avait subit à la cour du seigneur,le tout puissant dragonnier ayant trahie ses confrères Galbatorix.
En effet, Murtagh, fils du premier et dernier parjure du roi, Morzan, fut éduquer par le roi, ou plutôt par le maître d’arme de se dernier, après la mort de son père par la main de Brom dit le conteur de nos jours. Bien qu’il fut à l’époque un puissant dragonnier tel que Murtagh aujourd’hui ou il y a quelques mois,Thorn , son dragon couleur flamme, avait éclos pour lui. Ce dernier s’était traîné de l’aile droite du palais où résidait la salle du trône jusqu’au sous sol à coté des cuisines, ou résider sa couche.
Une pièce de trois mètres sur deux lui avait été attribuée tout comme au bonne bien qu’elles furent au grenier et n’avait donc pas cette odeur de pourriture émanant de la pièce d’à coté. Murtagh était revenu tôt ce matin, pensant ainsi échapper au roi des plaines brûlantes où avait eu lieu lors de la bataille, son combat avec Eragon, son propre frère qui néanmoins, lui appartenait à l’autre clan : Les Gentils. Murtagh lui aussi en aurait bien fait partie,cependant lors d’un affrontement sans merci après l’éclosion de son dragons, Murtagh avait due lui prêter de nombreux serments en Ancien Langage qui lui interdissent alors toutes libertés, même celle de se donner la mort.
Murtagh s’était alors fait violer l’esprit, et non sans douleur, de tout sentiment et pensé qu’il avait eu pendant son combat. Galbatorix avait pu constater que Murtagh, son dragonnier qui était à sa merci, n’avait pas respecté ses ordres qui semblaient pourtant simple : tuer la menace, par conséquent son frère.
Ce jour là Murtagh, chevauchant fièrement son dragon dont ses écailles telles des rubis refléter le soleil en éblouissant alors son ennemis, n’avait pu alors sur le moment s’abandonner à des actes d’une tel barbarie,sur la seul famille lui restant ,si ce dernier le considérait alors encore comme tel.
Le roi l’avait alors battu, sans relâche, le confrontant à des esprits démoniaques à la limite de l’inconscience instant ainsi qu’à son dragon qui blessé à de nombreux endroits dont quelques unes aurait mérités tout les soins disponibles. Son dragonnier n’avait pu les soignés? Le roi coupant alors de plus tout lien mental entre les deux acolytes du roi les laissant alors seuls et désemparés leur laissant croire que c’était leur ami qui leur refusé toute communication. Cela fut pour Murtagh la pire chose de toute sa vie.
Il pensait que son dragon lui refusé d’établir un lien comme s’il reprochait au jeune dragonnier que sa correction était de sa faute. Il fut de même alors pour le dragon et pendant plusieurs jours, il en fut de même, la relation d’amitié, qu’il avait pu alors créé avec son dragon lors de leur voyage s’était totalement effondrée. Et l’état des deux jeunes gens se dégradait de jours en jours, tout comme l’état des blessures du dragon dont la nouvelle n’arrangé rien.
Quelques semaines plus tard, alors que Murtagh n’avait pas encore revu ni le soleil ni son dragon depuis leur retour du front, une servante du palais, lui amena une convocation de son oncle pour dans moins d’une dizaine de minutes maintenant. Le temps nécessaire pour traverser le palais par les dédales de couloirs parsemant ce dernier.
Il était spécifié dans le bas du parchemin, que tout retard de sa part ne serais même pas imaginables, en
grosses lettres rouge sang, Le sang de son dragon!
Murtagh arriva dans la salle du trône extenué par la course à travers le châteaux. Le roi,assit sur son trône incrusté de nombreuses pierres précieuses dont la qualité des diamants augmentaient au fur et à mesure du trône pour finir sur un diamant d’une taille impressionnante, taillé par de nombreux maîtres nains, d’un noir d’ancre qui rendrez autant fou que riche chaque homme le possédant, regarda le jeune homme entrer et se délecta alors de son léger trouble pensant à son dragon habilement caché derrière la face impassible qu’il affichait. Seul et unique don que son père avait pu lui léguer. Murtagh s’avança dans la pièce et posant un genou au sol s’exclama:
-Vous m’avez fait demander Mon Bon Maître?
-Certainement dragonnier. J’ai eu le malheur d’apprendre que ton dragon était souffrant et qu’il lui fallait des soins au plus vite.
Galbatorix prenait tout simplement plaisir de plus en plus couramment à s’amuser sur le dos de son apprenti.
-Tu parais étonné, rajouta t il, n’étais-tu pas au courant?
-Non mon seigneur.
-Et pourquoi donc?
-Il m’empêche toute approche mentale.
-Depuis tout ce temps?Et pourquoi donc…Oh se doit sûrement être en raison du fait que ses terribles souffrances le menant peu à peu à la mort ont était causé par toi,l’être qui devrait le protéger!
-C’est à la conclusion que je suis arrivé mon roi.
-Et tu n’as rien fait, cela me déçoit.
-On m’empêche de le voir Mon Roi.
Et toujours un genou contre la dalle froide de marbre, il ajouta :
-J’ai décelé un sort magique me repoussant de différentes manières, soit en me rappelant une chose à faire de toute urgence, soit en me faisant oublier ma présence ici, jusqu’à l’existence des dragons étant un mauvais rêve, et toujours par déduction, je constate qu’il n’y a que vous capable d’un sort supérieur à mes capacités.
Et en haussant la voix et relevant la tête.
-C’est vous Mon Seigneur qui me bloquez l’accès à mon dragon!
Puis tout d’un coup, il eu comme un déclique.
-Et c’est vous aussi qui m’avez empêché tout contact spirituel avec ce dernier, simplement pour me faire payer la pire des punitions!avait conclu Murtagh Complètement relevé, regardant Galbatorix droit dans les yeux, les visages à quelques centimètres l’un de l’autre.
-Bien tu as comprit, il est vrai que tu as mis un certain temps, trop de temps pour comprendre et ton dragon à du payer pour toi!réprimanda le roi, mais cela devient une habitude de payer pour toi jeune homme, avait soufflé Galbatorix en commencent à tourné autour de Murtagh qui ne tenant plus se retourna et s’appliqua à donner le plus beau coup de poing dont il était capable au roi même s’il devait le payer de sa vie….
REISA!s’écria le roi légèrement énervé. Murtagh se retrouva alors projeté contre le mur où était représenté l’Alagaësia.
Le jeune dragonnier se retrouvait en mauvaise posture en plus de n’avoir aucune chance, mais tenta tout de même de résister au sortilège du roi, et peu à peu Murtagh se décollait du mur, centimètre par centimètre, le roi se retrouva assez impressionné des progrès de son apprenti, mais alors que Murtagh s’était détaché d’un bon mètre du mur, trône renchérisse par un autre sort pouvant causé la mort:
-Trhysta vindr, en dirigeant la paume de sa main droite en direction de la gorge de son ennemis pour que l’air y soit essentiellement compressé dans cet zone. Puis le roi continua,
-Et bien oui ,en effet c’est bien moi qui t’es coupée tout communication avec ton dragon pour te faire payer par la pire des souffrances que peut ressentir un dragonnier ne savant si son dragon est encore en vie ou non,vu dans quel état ce dragonnier la laissé, et en raison de l’affront que tu viens d’exercer j’aurais du continuer ce petit plaisir à vrai dire, mais ton dragon ne tiendra pas plus de quelques minutes si personne ne lui administre rapidement des soins. Et dans ma grande bonté, pour te permettre de le sauver, je l'ai faits amener ici, bien que tu ne le mérites nullement. Mais je ne peux me permettre de te perdre! Puis, claquant des doigts, Thorn apparue affalé sur la dalle noir de la pièce seigneurial, il rajouta,
-Tu nettoieras le sang des que tu auras fini!
Puis les sorts se relâchèrent, Murtagh s’écroula face contre terre, n’ayant pu respirer pendant de longues minutes. Mais reprenant son courage, il se releva pour s’écrouler à cotés de son dragon en commencent à le soigner sur les nombreuses blessures de la bête en s’exclamant sans arrêt de nombreux « Waise heill » .Murtagh était sur le bords de l’inconscience mais il se devait de continuer sa tache. Puis lorsqu’il pensa que tout était fini, ne sentant plus la présence de son dragon dans son esprit, il rassembla ses toutes dernières forces au risque de se tuer par un dernier sort de soin. Il s’écroula alors sur le flanc de son dragon, avec un soupçon de vengeance dans le visage, qui eu lors de ce long moment tout le temps de germer.
Voilà ma correction de ce chapitre
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Bon ma petite critique maintenant (eheheheh, le sadique rentre en scène XD)
Tes gros problèmes se sont la grammaire et la conjugaison ( C'est assez ch.... mais on y passe toujours.) Si tu veux que ta Fic soit agréable à lire, il faut que tu fasses moins de fautes. Et pour en faire moins, il faut que tu te relises
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Tes problèmes grammaticaux:
- son/sont =>Fait attention à ces deux là
- ce/se => se, c'est pour un verbe pronominal.
- le "S"=> Soit tu en mets là où y faut pas, soit tu ne n'en mets pas ^^".
- Tes phrases sont beaucoup trop longue, coupe les en deux morceaux mais garde autant de comparaison et de description.
Les côtés positifs:
Les comparaisons et les descriptions sont pas mal
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LE SADISME DE GALBY EST GENIAL!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
( Oula, je m'emporte (-_-') )
En imagination, je te donne 7/10
Ce n'est que le 1er chapitre, j'attends la suite pour voir ce que tu peux inventer.
Bref en conclusion j'ai décidé, et je pense que Folkvnir sera d'accord avec moi, que si tu nous montres un deuxième chapitre comme celui là avec moins de fautes de grammaire, tu seras un auteur incontestablement sadique de la GALSP ^^.
Postes le ici, parce que je ne peux pu me connecter à Eragon.jeun
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Voilà, j'espère que tu n'es pas trop déçu