L'EMPIRE

Ouais mais de toute façon personne ne peut m'égaler sur ce niveau...Je suis le fondateur de cette guilde de sadique je vous rappelle, et ne porte pas ce titre pour rien!
Sinon quand auras-tu enfin fini de taper ce chapitre qui ne vient pas assez vite à mon goût?

Oh non pas Arya!!! C'est pas possible!!! Mais j'avoue que tes idées pourraient vraiment se tenir! Ouh la la j'ai peur!! Pas Aryaaaaaaaaa!
Vive vite, il me faut la suite! mon pauvre petit coeur a déjà des attaques avec la fic de Folkvnir, Alyana soit gentille, poste très vite! Pitiiiiiié! En plus je veux absolument savoir si c'est Arya ou non...Même si moi, je reste plus sur Trianna...

Moi je pense que Alyana n'est pas assez sadique pour faire ça surtout qu'elle aime bien ce perso...^^

Je sais Folkvnir que je n'égalerai jamais ton sadisme...
La suite.... la suite.... je ne sais pas du tout...en plus je suis punie d'ordi (je suis au collège là) et je ne sais pas quand ma punition se terminera....
Je suis obligée de vous dire qu'il va falloir encore patienter un peu

Bon je fais mon mea culpa pour me faire pardonner de ce petit malentendu avec ce "foutu"
*folkvnir s'agenouille devant alyana, qui se tient fière et droite devant lui, prête à lui lancer son courroux devant cet affront*
Dame Alyana, je demande votre grâce votre impérieuse seigneurie. Ayez pitié de la pauvre cervelle qui me fait office de cage pour mon esprit simplet. Pitié, soyez miséricordieuse ma reine;
*bon ça y est ça suffit je m'épouste la poussière qui me collait aux genoux et m'en vais retourner taper la suite de ma fic *

Ma petite soeur, tu penses que tu auras écrit la suite avant que je parte, c'est à dire jeudi? J'aimerais trop en tout cas...

ouais c vrai sa serai bien ou avant 2 semianes sinon je serai partit

Woaw dame alyana.... ça pète tout !!!!
nous attendons la suite avec impatience et ça va être trop bien ... je le sens

Oh non... tu es partie Enelya, et j'ai pas posté
Quant à Ulfin, je posterai avant deux semaines.

En réponse à Folkvnir:
La reine soutient son regard sans ciller, fixant des yeux le solliciteur désespéré. Après une longue attente, sans que rien ne soit venu troubler cette atmosphère feutrée et critique, elle consentit à pardonner celui qui sans le vouloir l'avait légérement froissée.

vous êtes trop bonne ma reine!

beuh on aura pas la suite avantde patir en vac je par ce soir 4h du mat

ouin pas glop

Alyana m'as dit qu'elle postait la suite ce soir vers 21h vous l'aurez avant. En tout cas moi j'ai trop hâte de la lire...

ouais *fait la fête*
merci aly j't'adore

Voilà... Ulfin, Gaeldrech, je tiens ma promesse. Comment avez-vous pu douter de moi ??! Mais oui, je sais Gaeldrech que tu m'adore, c'est la 3ème fois que tu me le dit ! lol
En tout cas, bah voilà la suite ! Bonne lecture:

Chapitre 9 : Sans retour :

Cela faisait plusieurs heures qu’ils volaient… un imperturbable silence s’éternisait… Arya n’avait pas ouvert la bouche depuis la dispute qu’elle avait eue avec le dragonnier et ce dernier n’osait même plus poser un regard sur elle. Saphira ayant remarqué ce malaise, préféra elle aussi ne converser avec personne par peur de rendre jaloux l’autre. Roran observait les cheveux roux de sa fiancée, volant au vent. Celle-ci semblait complètement déconnectée du monde. Sous elle, les paysages infinis avançaient sans un arrêt. Emerveillée, elle contemplait les beautés inimaginables, défiler sous elle, comme un souffle de vie perdu.
Enfin, ils reconnurent la couleur cuivre caractérisant les plaines brûlantes, monotones sans un changement. Saphira se posa, sur une surface déserte. Dans le ciel, des nuages gris annonçaient une pluie prochaine. Un énorme voile, d’une couleur noire apocalyptique, recouvrait les cieux.
Eragon sauta à terre, et se dégourdit les jambes de ce si long trajet. Saphira, elle-même, s’étira. Quand ils se furent tous remit du vol, ils se rendirent sous la tente de Nasuada. Lorsqu’ils entrèrent, la chef des vardens était absorbée par un parchemin. Elle semblait confuse et même désemparée. Eragon constata qu’elle avait versé une larme récemment, une goutte glissa à nouveau sur sa joue. Mais personne d’autre ne le remarqua. Jormundur, lui aussi était présent. Quand elle réalisa que les voyageurs étaient rentrés, dans sa surprise, elle renversa sa chaise quand elle se leva d’un bond et s’écria :
« Eragon !
Elle contourna son bureau, et se plaça devant eux. Le dragonnier, Arya, Roran et Katrina s’inclinèrent. Nasuada leur fit signe de se redresser puis elle entonna :
- Enfin, vous êtes rentrés, sains et saufs et comme je peux le voir, vous avez mené à bien votre mission. J’en suis heureuse.
Elle s’approcha de Katrina. Cette dernière avait une coiffure des plus misérables et folles à cause du vol. La jeune femme s’inclina encore lorsque Nasuada se retrouva face à elle. La chef lui dit d’un ton mielleux :
- Mais non, redresse-toi voyons. Je suis contente de voir que tu as l’air en forme. Si tu as besoin de la moindre chose, n’hésite pas à nous le demander. Sois fière de ton fiancée.
Katrina adressa un regard interrogateur à Roran qui se contenta d’ignorer. Il rougit légérement. Il n’avait sans doute pas encore raconté son histoire à celle qu’il aimait. Nasuada reprit, plus fermement :
- Bien, j’imagine que vous êtes épuisés par ce voyage. Je vous prie de regagner votre tente. Jormündur, accompagne Roran et sa fiancée jusqu’à leur abri personnel.
L’interessé lança un regard déconcertant à la chef. Celle-ci insista d’un signe de tête. Il dit :
- Très bien Nasuada. Je ferai comme convenu.
Jormündur, suivi de Roran et Katrina sortirent de la tente. Eragon et Arya allèrent suivre quand la chef des vardens rappella :
- Non Eragon, ni toi Arya… il faut que je vous garde quelques instants de plus.
Contre son gré, Arya échangea un regard perplexe avec Eragon. Ce dernier reporta son attention sur Nasuada. Elle faisait les « cents pas » devant eux. Enfin, elle s’arrêta… se redressa…releva le regard en leur direction. Elle annonça, d’une mine déconfite :
- Je pense qu’une nouvelle guerre se prépare.
Arya se crispa soudainement. Eragon lui aussi sentait un liquide froid se répendre dans ses veines. La princesse, d’une voix à peine audible, comme pour elle-même, dit :
- C’est impossible… non… pas maintenant… je ne peux… pas là… non…c’est le moment… non…
- En tout cas, tout laisse à penser que oui. Et Galbatorix serait vraiment concerné. On peut comprendre, ils viennent de perdre une bataille importante.
- Mais on vient à peine de sortir de la guerre des plaines brûlantes, protesta Arya qui était redevenue impassible, nos hommes sont faibles et les armées ont considérablement diminuées.
- De plus qu’apparement Galbatorix forment une nouvelle espèce, avoua Nasuada. C’est ce parchemin qui vient de me l’apprendre. Une espèce redoutable qui avait disparue…
- Nous sommes désavantagés, dit Eragon, ils ont deux dragons et malgré mon entrainement à Ellesméra, Murtagh est bien plus fort que moi…
- Il faudra faire preuve de rigueur si nous voulons triompher. Ce ne sera pas simple. Cette bataille risque d’être...destructrice, lâcha Nasuada. C’est pour cela qui faut éviter de démoraliser nos troupes. Contentons-nous de trouver un nouvel endroit où nous pourrons rester quelques temps. Il faut aussi que vous ne restiez pas énormément à Farthen Dur, Eragon. Je ne peux pas me permettre de laisser partir deux personnes très importantes pour une éternité. J’ai besoin de vous plus que tout, cette fois. J’ai vraiment peur pour les vardens. Nul n’en sortira indemne.
- Ne t’inquiète pas Nasuada, nous reviendrons vite. Juste le temps des funérailles et de la succession du trône. Après quoi, nous partirons sans attendre.
- Eragon, je veux que toi et Arya alliez chez les elfes pour les informer de la situation. Et pour savoir si je peux compter sur eux pour être là.
- Il en sera fait selon tes ordres. Tu peux en être sûre.
- Très bien. Maintenant que je vous ai avertis, vous pouvez aller vous reposer. Je ne vous retiens pas plus.
- Nasuada, j’aimerai de parler un instant, demanda Eragon, géné.
- Bien sûr. De quoi veux-tu me parler ?
Il ne réagit pas directement. Un silence les sépara un moment. Arya, annonça :
- C’est bon, j’ai compris. Au revoir Nasuada.
Elle sortit, d’un pas rapide. Eragon soupira sans le vouloir vraiment. La chef des vardens, surprise questionna :
- Que ce passe-t-il entre vous ? Vous m’avez sembler tendus tous les deux.
- Rien de très important Nasuada. Je voudrais parler de ton père. Sais-tu à qui il se reférençait quand il voulait une information ?
- Non Eragon. Je ne suis pas au courant de tout cela. Mon père ne m’en disait rien. Puis-je savoir pourquoi me pose-tu cette question ?
- Excuse-moi, mais non.
Il s’inclina rapidement et se précipita au dehors de la tente sans même entendre Nasuada qui demandait après lui. Il leva la tête en direction du ciel. La pluie s’était installée. Les fines gouttes s’écrasaient avec plaisir sur le visage d’Eragon. Il n’avait jamais les cieux si sombres. En quelques secondes, il fut complétement trempé, de la tête aux pieds. Il n’arrivait pas à bouger, il était hypnotisé par la couleur sinistre du ciel. Une main froide le saisit à l’épaule et le tira. Il se retourna et vit Arya, la mine grave. Il se laissa entraîner sous la tente la plus proche. Eragon la fixa. Elle était de marbre. Son teint avait pâli. Ses yeux vides et rivés sur le sol, lui donnait un air des plus énigmatiques. Le dragonnier pu percevoir dans son regard de l’appréhension et de la culpabilité. L’elfe releva la tête et leurs regards se croisèrent. Eragon préféra l’éviter mais Arya maintenait le sien sans ciller. Déterminé à ne pas être délicat avec elle, il s’exclama d’un ton strident :
- Arya, si tu attends des excuses, tu perds ton temps inutilement. Je ne m’excuserai plus maintenant. Je ne suis plus aussi vulnérable qu’avant. Je me suis endurci et c’est pour cela que tu n’obtiendras plus de supplications venant de moi. Va t’en Arya, je n’ai aucune envie de te parler.
- Je ne suis pas venue pour te voir, misérable, me suppliant de te pardonner. Non. Pas cette fois. C’est à moi de m’excuser. Pas pour ce que j’ai fait la nuit dernière. Non je ne regrette pas de t’avoir giflé. Mais pour mon comportement. Tu as tort Eragon, je suis la même. C’est juste que je suis ailleurs et toi tu n’acceptes pas mes distances. Tu as besoin que je sois là en permanence pour te conseiller. Mais il n’en sera pas toujours ainsi. Tu le sais. Je vois que tu grandis mais prends ton temps. Tu vas trop vite, tu mûris trop rapidement. Il faut que tu fasses le point.
- J’essaie simplement que tu me respecte. C’est ta faute.
- NE DIS PAS CA ! je te respecte, je l’ai toujours fait. Je ne t’aime pas Eragon… arrête de revenir à ça, sans cesse. Ne m’oblige pas à te giffler de nouveau. Pardonne-moi s’il te plaît. Si tu ne le fait pas, je ne te suivrai plus. La reine Izlanzadi a besoin de moi à Ellesméra. Si rien ne me retiens ici, je m’en irai.
- Quoi ?
- J’ai des problèmes. Ce n’est pas pour autant que je me suis laissé battre par ces ra’zacs. Je suis la même. Si tu as encore besoin de moi et que tu me pardonne et que tu m’écoute, alors je resterai à tes côtés. Mais si tel n’est pas le cas, alors je rentrerai chez moi, là où je serai utile à quelqu’un.
- Arya, je ne veux pas que tu me fuis. J’ai besoin de toi. Mais n’espère pas non plus trop de moi. Je te pardonne mais la prochaine fois…
- Merci. Revenons-en à la prochaine guerre. J’ai de nombreuses raisons d’être perturbée. Je t’expliquerai quand le moment sera venu. Ne t’en occupe pas Eragon. Je te l’interdis.
- D’accord. Il faut que j’aille voir Angela, tu veux bien m’excuser ?
- Evidement.
Ils se quittèrent ainsi. S’étant pardonnés, il restait toujours une tension que rien ne pouvait changer. Arya l’avait remarqué. Eragon ne l’avait pas complétement excusée.
Le dragonnier se dirigea en quête de la tente de la sorcière. Arrivé sur place, il découvrit l’intérieur bien sombre. La pièce étaitd’une faible luminosité. Eragon parcourut du regard l’intérieur de la tente. Une forme indistincte semblait accroupie dans le fond. Il appella timidement :
- Angela ? Angela, vous êtes là ?
La forme bougea et se rapprocha à grandes enjambées en direction du jeune homme. Enfin , il reconnut Angela, la sorcière, le fixant d’un regard mauvais. D’une voix pleine de reproche, elle s’écria :
- Aurais-tu oublier ta promesse dragonnier ?Tu es parti sans même avoir soigner Elva. Tu te souviens d’elle au moins ?
- Qu…quoi ? Oui bien… bien sûr, balbutia Eragon
Son regard lui fit froid dans le dos. Il s’en voulu terriblement d’avoir oublié Elva. Il s’approcha vers le fond de la tente, où gisait une fillette sur un maigre lit. Il distingua difficilement le visage endormi de l’enfant. Son corps était parfaitement immobile, son front en sueur. Derrière lui, Angela alluma une ou deux bougies pour augmenter la visibilité de l’endroit. Eragon se rapprocha d’Elva et scruta ses yeux. Il saisit la main de la petite, sans insister. Dans un moment inattendu, la fillette serra la main du dragonnier violemment. Elle planta son regard dans celui d’Eragon, sous le choc. La lueur dans ses yeux était indéchiffrable. Il tressaillit. Elle lui sourit gentillement mais Eragon mais le regard de l’enfant était méconnaissable. Il lui lâcha la main. Angela secoua le dragonnier et lui ordonna :
- Maintenant ! Maintenant, rends-lui sa vie. Redonne lui du bonheur, Eragon ! Tout de suite !
- Je vais te guérir Elva, ne t’inquiète plus. Je t’en conjure. Dans un instant tu seras une enfant normale, comme les autres.
La petite changea instantanément d’attitude. Son sourire se transforma en une grimace. Elle rétorqua d’un ton mystérieux et placide.
- Eragon, il ne faut pas. Je l’ai vu. Tu verras à ton tour… non…
Angela à son tour regarda Elva, étonnée. Malgré les paroles de l’enfant, la sorcière continua :
- Ne l’écoute pas, dragonnier. Elle ne se rend pas compte. Maintenant, tu vas la libérer. TOUT DE SUITE !
Eragon réfléchit longuement. Il ne fallait surtout pas qu’il commette une nouvelle erreur. Les mots se bousculèrent dans sa tête. Il posa sa paume sur le front de la petite et enfin il clama, incertain :
- Fotham mor lyan brinsj (délie-la du mauvais sort)
Eragon observa Elva qui le fixait toujours intensement. Elle chuchota faiblement :
- Tu n’aurais pas dû… tu n’aurais pas dû…
Les yeux de l’enfant se brouillèrent et elle fut agitée par d’inombrables tremblements. Le dragonnier s’inquiéta mais fut incapable de réagir. Et s’il vait raté le contre-sort ? La respiration de la fillette s’accéléra dangereusement. Angela essaya de la bloquer pour éviter qu’elle ne se fasse mal, usant de tout son sang froid. Eragon restait cloué sur place, rongé par l’inquiétude grandissante en lui. Il retira sa paume du front de l’enfant. Le silence revint, les spasmes s’espacèrent puis disparurent complétement. L’étoile du front d’Elva, semblable à la gedwëy ignasia, faite par Saphira se mit à scintiller d’une couleur bleue intense. Celle de la paume d’Eragon le démangea un peu.
Tout à coup, une lumière blanche aveuglante illumina la tente entière. Eragon et Angela se couvrirent les yeux. Quelques instants après, la lumière se dissipa, suivie d’un vent froid qui éteingnit les bougies à son passage. La pièce se retrouva plongée dans l’obscurité totale. Eragon entendit la respiration difficile d’Elva à ses côtés. Ils attendirent dans le noir jusqu’à ce que la sorcière rallume des bougies. Les flammes des chandelles éclairaient faiblement. Le dragonnier s’en saisit d’une pour constater les changements effectués sur l’enfant. Sur son front, plus aucune trace de l’étoile. Son souffle s’était calmé et elle dormait à présent. Elle était vraissemblablement encore en vie, sa poitrine se soulevant faiblement au rythme de sa respiration. Il soupira de soulagement. Maintenant il faudrait attendre son réveil pour savoir si le contre-sort avait fait son effet. Il adressa un sourire à la sorcière. Elle ne lui rendit pas. D’un ton anormal, elle s’exclama :
- Maintenant, retourne à ta tente. Il n’y a pas de quoi te féliciter. Tu as fait ce que tu devais faire.
Eragon fut piqué au vif par ses dires. Il ne répondit rien, se contenta de rentrer avec quelques difficulés à sa tente, où il pourrait se reposer de toutes ses émotions.

merci super-aly (tadadam!!)de pense à nous et de posté ce chapitre avant notre départ en vacances
Petite critique le mot ravageur ne me semble pas approprié en parlant des batailles j'aurai plutôt dit meurtrières

Moi je trouves que tout est super bien et j'attends la suite avec impatiente. Je ne trouve pas qu'il y a de critiques à faire surtout pour un mot je préfère même "ravageur" car on s'attend trop au mot "meurtrier" en parlant d'une guerre.
Sinon un petit indice pour la suite ne serai pas de refus...

Non moi même j'avoue que "ravageur" n'est pas bien approprié. Alors je rectifie tout de suite (parce que je sais que si Folkvnir voit ça, il va laisser passer !)
P.S: je ne change pas par "meurtrière" mais "destructrice". Désolée Gaeldrech mais c'est comme ça^^

trop tard, j'ai vu!
Et je suis d'accord, "meutrière" n'est pas très adéquat, "destructrice" est bien mieux.
Sinon j'ai beaucoup aimé, encore une fois, et ces petites choses intrigantes, telle que la nouvelle attaque de l'empire et le fait qu'elva ne voulait pas guérir attisent ma curiosité au plus haut fait.
Néanmoins je m'attendais à ce que saphira viennen en aide à eragon en ce qui concerne elva. Mais bon peut-être suis-je trop imprégné par ma propre version de l'histoire.
En tout cas cette attente fut justifiée, cette épisode charnière ouvre la voie à de nnouveaux événements qui j'en suis sûr nous font tous saliver d'impatience.
Folkvnir

Et bien en revenant de vacances, je vous promets un chapitre encore plus intriguant ! Vous allez être servi !
Je suis contente que le chapitre vous ait plu.
Il est vrai que j'ai parfois tendance à oublier Saphira alors je vais faire de mon mieux pour que vous la "voyez" plus.
Attention révélation:

Spoiler:

P.S: je suis pas là du 4 au 11. Vous n'aurez pas longtemps à attendre, ça va
P.P.S: Folkvnir, c'est bien que tu ais remarqué pour Elva... ça deviendra assez important par la suite...
P.P.P.S: Par contre, j'ai glissé deux autres choses que vous n'avez pas vues.

trop bien ta fic
vivement la suite!

J'adore ton histoire et la suite est super !!!
J'attends la suite avec impatience !

C'était super cool J'aurais préféré une grosse enguellade avec Arya en plus.

On s'accroche tout de suite à ton histoire , c'est ça qui est géniale. On n'a pas envie de s'arrêter.

Continue sur cette voie, ne change rien

tout a fait d'accord
elle est fabuleuse la fic !!

Oui c'est vrai et vu le début, la suite va être SUPER...patience...